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|gf=<b>atquī</b>,⁹ conjonction marquant une opposition atténuée [formée de at et de l’ancien ablatif quī, v. quī 2, § 3]<br /><b>1</b> et pourtant ; eh bien, pourtant : [[numquam]] auferes [[hinc]] [[aurum]]. — Atqui [[jam]] dabis Pl. Bacch. 824, jamais tu n’emporteras d’ici mon or. — Pourtant tout à l’heure tu me le donneras ; o rem, inquis, difficilem et inexplicabilem ! [[atqui]] explicanda [[est]] Cic. Att. 8, 3, 6, quelle situation [[difficile]], diras-tu, et embrouillée ! et pourtant il faut la débrouiller ; te permagnum [[est]] nancisci otiosum. — Atqui [[nactus]] es Cic. Rep. 1, 14, il [[est]] bien [[difficile]] de te trouver de loisir. — Et pourtant tu m’as trouvé ainsi, cf. de Or. 1, 137 ; 1, 167 ; Verr. 2, 2, 144 ; Mur. 31, etc.<br /><b>2</b> eh bien, alors (dans ces conditions) : [[licet]] vestro arbitratu percontemini. — Atqui [[hoc]] ex te quærimus Cic. de Or. 1, 102, vous pouvez m’interroger à votre guise. — Alors, voici ce que nous te demandons, cf. Tusc. 5, 15 ; 4, 8 ; [[sic]] [[mihi]] liceret et [[isti]] [[rei]] [[quam]] desideras et multis majoribus operæ [[quantum]] vellem dare. — Atqui [[vereor]] ne Cic. Leg. 1, 11, voilà comment il me serait permis de consacrer tous les soins que je voudrais et à la tâche que tu désires et à bien d’autres encore [[plus]] importantes. — Dans ces conditions (malheureusement) je crains bien que...; [[atqui]], si noles [[sanus]], curres [[hydropicus]] Hor. Ep. 1, 2, 34, eh bien (alors), si tu ne veux pas courir bien portant, tu courras hydropique ; præclaram causam ad me defertis, cum me improbitatis [[patrocinium]] suscipere voltis. — Atqui id [[tibi]], inquit Lælius, verendum [[est]] ne... Cic. Rep. 3, 8, c’[[est]] une [[belle]] cause dont vous me chargez, en voulant que je prenne la défense de l’injustice ! — Oui, malheureusement, dit Lælius, tu dois craindre que... [ton plaisant]<br /><b>3</b> eh bien : tum [[eum]] dixisse mirari [[non]] [[modo]] diligentiam, [[sed]] [[etiam]] sollertiam [[ejus]], a [[quo]] essent [[illa]] dimensa ; et Cyrum respondisse « [[atqui]] [[ego]] ista sum [[omnia]] [[dimensus]] » Cic. CM 59, alors il avait déclaré qu’il admirait [[non]] seulement la conscience, mais encore le savoir-faire de celui par qui avait été fait le tracé de ce jardin ; et [[Cyrus]] avait répondu : « eh bien, c’[[est]] moi qui ai tracé tout cela » ; [[atqui]], si quæres [[ego]] [[quid]] exspectem Cic. Leg. 1, 15, eh bien, si tu veux savoir ce que j’attends pour mon [[compte]]..., cf. Rep. 2, 30 ; de Or. 2, 204, etc. ; Liv. 8, 9, 1 || or, eh bien : [[itaque]] [[illud]] Cassianum « [[cui]] bono fuerit » in his personis valeat ; [[etsi]] [[boni]] [[nullo]] emolumento impelluntur in fraudem, improbi sæpe [[parvo]]. Atqui Milone interfecto [[Clodius]] hæc assequebatur... Cic. Mil. 32, aussi que ce mot de [[Cassius]] « à qui l’[[acte]] a-t-il profité », nous serve à [[propos]] de ces personnes ; si nul profit ne peut pousser au mal les [[gens]] de bien, un léger profit suffit souvent à y pousser les méchants. Or, Milon tué, [[Clodius]] obtenait les avantages suivants..., cf. Phil. 9, 5 ; Fin. 5, 34 ; CM 81 ; Nat. 2, 18 ; Div. 2, 9, etc. ; [[quis]] [[est]] qui, [[quoquo]] [[modo]] [[quis]] [[interfectus]] sit, puniendum putet, cum videat [[aliquando]] [[gladium]] [[nobis]] ad hominem occidendum ab ipsis porrigi legibus ? Atqui, si [[tempus]] [[est]] ullum [[jure]] hominis necandi, [[certe]]... Cic. Mil. 9, [[est]]-il qqn, de quelque manière qu’un meurtre ait été [[commis]], pour croire qu’il doive y avoir châtiment, quand il voit que parfois les lois nous présentent elles-mêmes le glaive pour tuer ? Eh bien, si jamais il y a des circonstances où le meurtre soit légitime, à coup sûr..., cf. Liv. 6, 37, 2 || [en part. dans la mineure du syllogisme] or : [[quod]] si virtutes sunt pares [[inter]] se, paria [[esse]] [[etiam]] vitia [[necesse]] [[est]] ; [[atqui]] pares [[esse]] virtutes facillime potest percipi... ; sequitur ut Cic. Par. 21, si les vertus sont égales entre elles, les [[vices]] sont égaux aussi, nécessairement ; or, que les vertus soient égales, [[rien]] de [[plus]] [[facile]] à reconnaître...; il s’ensuit que, cf. Fin. 4, 67 ; Tusc. 3, 14 ; Nat. 2, 16 ; Phil. 2, 31, etc.<br /> arch. atquei Lucil. Sat. 520 [[quid]] ou [[atque]] chez Marx, [[atqui]] chez Bæhrens (374) et atquei chez Müller] ; 17, 6 (?).||or, eh bien : [[itaque]] [[illud]] Cassianum « [[cui]] bono fuerit » in his personis valeat ; [[etsi]] [[boni]] [[nullo]] emolumento impelluntur in fraudem, improbi sæpe [[parvo]]. Atqui Milone interfecto [[Clodius]] hæc assequebatur... Cic. Mil. 32, aussi que ce mot de [[Cassius]] « à qui l’[[acte]] a-t-il profité », nous serve à [[propos]] de ces personnes ; si nul profit ne peut pousser au mal les [[gens]] de bien, un léger profit suffit souvent à y pousser les méchants. Or, Milon tué, [[Clodius]] obtenait les avantages suivants..., cf. Phil. 9, 5 ; Fin. 5, 34 ; CM 81 ; Nat. 2, 18 ; Div. 2, 9, etc. ; [[quis]] [[est]] qui, [[quoquo]] [[modo]] [[quis]] [[interfectus]] sit, puniendum putet, cum videat [[aliquando]] [[gladium]] [[nobis]] ad hominem occidendum ab ipsis porrigi legibus ? Atqui, si [[tempus]] [[est]] ullum [[jure]] hominis necandi, [[certe]]... Cic. Mil. 9, [[est]]-il qqn, de quelque manière qu’un meurtre ait été [[commis]], pour croire qu’il doive y avoir châtiment, quand il voit que parfois les lois nous présentent elles-mêmes le glaive pour tuer ? Eh bien, si jamais il y a des circonstances où le meurtre soit légitime, à coup sûr..., cf. Liv. 6, 37, 2||[en part. dans la mineure du syllogisme] or : [[quod]] si virtutes sunt pares [[inter]] se, paria [[esse]] [[etiam]] vitia [[necesse]] [[est]] ; [[atqui]] pares [[esse]] virtutes facillime potest percipi... ; sequitur ut Cic. Par. 21, si les vertus sont égales entre elles, les [[vices]] sont égaux aussi, nécessairement ; or, que les vertus soient égales, [[rien]] de [[plus]] [[facile]] à reconnaître...; il s’ensuit que, cf. Fin. 4, 67 ; Tusc. 3, 14 ; Nat. 2, 16 ; Phil. 2, 31, etc.<br /> arch. atquei Lucil. Sat. 520 [[quid]] ou [[atque]] chez Marx, [[atqui]] chez Bæhrens (374) et atquei chez Müller] ; 17, 6 (?). | |gf=<b>atquī</b>,⁹ conjonction marquant une opposition atténuée [formée de at et de l’ancien ablatif quī, v. quī 2, § 3]<br /><b>1</b> et pourtant ; eh bien, pourtant : [[numquam]] auferes [[hinc]] [[aurum]]. — Atqui [[jam]] dabis Pl. Bacch. 824, jamais tu n’emporteras d’ici mon or. — Pourtant tout à l’heure tu me le donneras ; o rem, inquis, difficilem et inexplicabilem ! [[atqui]] explicanda [[est]] Cic. Att. 8, 3, 6, quelle situation [[difficile]], diras-tu, et embrouillée ! et pourtant il faut la débrouiller ; te permagnum [[est]] nancisci otiosum. — Atqui [[nactus]] es Cic. Rep. 1, 14, il [[est]] bien [[difficile]] de te trouver de loisir. — Et pourtant tu m’as trouvé ainsi, cf. de Or. 1, 137 ; 1, 167 ; Verr. 2, 2, 144 ; Mur. 31, etc.<br /><b>2</b> eh bien, alors (dans ces conditions) : [[licet]] vestro arbitratu percontemini. — Atqui [[hoc]] ex te quærimus Cic. de Or. 1, 102, vous pouvez m’interroger à votre guise. — Alors, voici ce que nous te demandons, cf. Tusc. 5, 15 ; 4, 8 ; [[sic]] [[mihi]] liceret et [[isti]] [[rei]] [[quam]] desideras et multis majoribus operæ [[quantum]] vellem dare. — Atqui [[vereor]] ne Cic. Leg. 1, 11, voilà comment il me serait permis de consacrer tous les soins que je voudrais et à la tâche que tu désires et à bien d’autres encore [[plus]] importantes. — Dans ces conditions (malheureusement) je crains bien que...; [[atqui]], si noles [[sanus]], curres [[hydropicus]] Hor. Ep. 1, 2, 34, eh bien (alors), si tu ne veux pas courir bien portant, tu courras hydropique ; præclaram causam ad me defertis, cum me improbitatis [[patrocinium]] suscipere voltis. — Atqui id [[tibi]], inquit Lælius, verendum [[est]] ne... Cic. Rep. 3, 8, c’[[est]] une [[belle]] cause dont vous me chargez, en voulant que je prenne la défense de l’injustice ! — Oui, malheureusement, dit Lælius, tu dois craindre que... [ton plaisant]<br /><b>3</b> eh bien : tum [[eum]] dixisse mirari [[non]] [[modo]] diligentiam, [[sed]] [[etiam]] sollertiam [[ejus]], a [[quo]] essent [[illa]] dimensa ; et Cyrum respondisse « [[atqui]] [[ego]] ista sum [[omnia]] [[dimensus]] » Cic. CM 59, alors il avait déclaré qu’il admirait [[non]] seulement la conscience, mais encore le savoir-faire de celui par qui avait été fait le tracé de ce jardin ; et [[Cyrus]] avait répondu : « eh bien, c’[[est]] moi qui ai tracé tout cela » ; [[atqui]], si quæres [[ego]] [[quid]] exspectem Cic. Leg. 1, 15, eh bien, si tu veux savoir ce que j’attends pour mon [[compte]]..., cf. Rep. 2, 30 ; de Or. 2, 204, etc. ; Liv. 8, 9, 1 || or, eh bien : [[itaque]] [[illud]] Cassianum « [[cui]] bono fuerit » in his personis valeat ; [[etsi]] [[boni]] [[nullo]] emolumento impelluntur in fraudem, improbi sæpe [[parvo]]. Atqui Milone interfecto [[Clodius]] hæc assequebatur... Cic. Mil. 32, aussi que ce mot de [[Cassius]] « à qui l’[[acte]] a-t-il profité », nous serve à [[propos]] de ces personnes ; si nul profit ne peut pousser au mal les [[gens]] de bien, un léger profit suffit souvent à y pousser les méchants. Or, Milon tué, [[Clodius]] obtenait les avantages suivants..., cf. Phil. 9, 5 ; Fin. 5, 34 ; CM 81 ; Nat. 2, 18 ; Div. 2, 9, etc. ; [[quis]] [[est]] qui, [[quoquo]] [[modo]] [[quis]] [[interfectus]] sit, puniendum putet, cum videat [[aliquando]] [[gladium]] [[nobis]] ad hominem occidendum ab ipsis porrigi legibus ? Atqui, si [[tempus]] [[est]] ullum [[jure]] hominis necandi, [[certe]]... Cic. Mil. 9, [[est]]-il qqn, de quelque manière qu’un meurtre ait été [[commis]], pour croire qu’il doive y avoir châtiment, quand il voit que parfois les lois nous présentent elles-mêmes le glaive pour tuer ? Eh bien, si jamais il y a des circonstances où le meurtre soit légitime, à coup sûr..., cf. Liv. 6, 37, 2 || [en part. dans la mineure du syllogisme] or : [[quod]] si virtutes sunt pares [[inter]] se, paria [[esse]] [[etiam]] vitia [[necesse]] [[est]] ; [[atqui]] pares [[esse]] virtutes facillime potest percipi... ; sequitur ut Cic. Par. 21, si les vertus sont égales entre elles, les [[vices]] sont égaux aussi, nécessairement ; or, que les vertus soient égales, [[rien]] de [[plus]] [[facile]] à reconnaître...; il s’ensuit que, cf. Fin. 4, 67 ; Tusc. 3, 14 ; Nat. 2, 16 ; Phil. 2, 31, etc.<br /> arch. atquei Lucil. Sat. 520 [[quid]] ou [[atque]] chez Marx, [[atqui]] chez Bæhrens (374) et atquei chez Müller] ; 17, 6 (?).||or, eh bien : [[itaque]] [[illud]] Cassianum « [[cui]] bono fuerit » in his personis valeat ; [[etsi]] [[boni]] [[nullo]] emolumento impelluntur in fraudem, improbi sæpe [[parvo]]. Atqui Milone interfecto [[Clodius]] hæc assequebatur... Cic. Mil. 32, aussi que ce mot de [[Cassius]] « à qui l’[[acte]] a-t-il profité », nous serve à [[propos]] de ces personnes ; si nul profit ne peut pousser au mal les [[gens]] de bien, un léger profit suffit souvent à y pousser les méchants. Or, Milon tué, [[Clodius]] obtenait les avantages suivants..., cf. Phil. 9, 5 ; Fin. 5, 34 ; CM 81 ; Nat. 2, 18 ; Div. 2, 9, etc. ; [[quis]] [[est]] qui, [[quoquo]] [[modo]] [[quis]] [[interfectus]] sit, puniendum putet, cum videat [[aliquando]] [[gladium]] [[nobis]] ad hominem occidendum ab ipsis porrigi legibus ? Atqui, si [[tempus]] [[est]] ullum [[jure]] hominis necandi, [[certe]]... Cic. Mil. 9, [[est]]-il qqn, de quelque manière qu’un meurtre ait été [[commis]], pour croire qu’il doive y avoir châtiment, quand il voit que parfois les lois nous présentent elles-mêmes le glaive pour tuer ? Eh bien, si jamais il y a des circonstances où le meurtre soit légitime, à coup sûr..., cf. Liv. 6, 37, 2||[en part. dans la mineure du syllogisme] or : [[quod]] si virtutes sunt pares [[inter]] se, paria [[esse]] [[etiam]] vitia [[necesse]] [[est]] ; [[atqui]] pares [[esse]] virtutes facillime potest percipi... ; sequitur ut Cic. Par. 21, si les vertus sont égales entre elles, les [[vices]] sont égaux aussi, nécessairement ; or, que les vertus soient égales, [[rien]] de [[plus]] [[facile]] à reconnaître...; il s’ensuit que, cf. Fin. 4, 67 ; Tusc. 3, 14 ; Nat. 2, 16 ; Phil. 2, 31, etc.<br /> arch. atquei Lucil. Sat. 520 [[quid]] ou [[atque]] chez Marx, [[atqui]] chez Bæhrens (374) et atquei chez Müller] ; 17, 6 (?). | ||
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{{Georges | |||
|georg=at-quī ([[nicht]] adquī), Coni. (aus at u. [[qui]] [entst. aus [[quoi]] = [[quo]]]), zur nachdrücklichen Anknüpfung [[einer]] adversativen [[Behauptung]], [[auf]] welche [[Weise]] [[dagegen]], [[dagegen]] [[eben]], [[gleichwohl]] [[aber]], [[aber]] [[doch]], [[nun]] [[doch]], [[vielmehr]] ([[also]] eine [[rein]] adversative [[Partikel]], das nachdrücklichere at, [[während]] [[atque]] ursprünglich [[rein]] kopulativ ist), I) im allg.: TH. Quid ais [[venefica]]? PY. Atqui [[certo]] comperi, Ter.: CL. [[satis]] [[scite]] promittit [[tibi]]. SY. Atqui tu hanc iocari credis? glaubst du [[vielmehr]], [[sie]] scherze? Ter.: [[atqui]] [[mihi]] [[quoque]] [[videor]], [[inquam]], venisse, ut [[dicis]], [[opportune]], [[vielmehr]] glaube [[ich]] [[eben]] [[auch]] usw., Cic.: u. so Hor. carm. 1, 23, 9 ([[gleichwohl]], [[ἀλλά]] [[τοι]]); u. Cic. de sen. 81 ([[dagegen]] [[eben]]). – zuw. zur Anknüpfung eines das Vorhergehende bestätigenden Gedankens, ja [[freilich]], allerdings, DO. Salvus [[sis]] [[adulescens]]. SO. Siquidem hanc vendidero [[pretio]] [[suo]]. DO. Atqui [[aut]] [[hoc]] emptore vendes [[pulcre]] [[aut]] [[alio]] [[non]] [[potes]], Plaut.; u. so Cic. de rep. 3, 8 (ja [[freilich]]); de legg. 1, 4 (allerdings): zuw. verb. [[atqui]] [[pol]], [[atqui]] [[sic]], [[wie]] Plaut. asin. 670. Ter. eun. 953. – so [[auch]] [[atqui]] si, [[wenn]] [[nun]] [[eben]]; [[nun]] [[wohl]], [[wenn]]; [[nun]] [[gut]], [[wenn]]; od. adversativ, [[wenn]] [[nun]] [[aber]], [[atqui]] si quaeres, [[ego]] [[quid]] exspectem, [[nun]] [[wohl]], [[wenn]], Cic.: [[atqui]] si [[ita]] placet, [[nun]], [[wenn]] es so [[gefällig]] ist, Cic.: [[atqui]] si noles [[sanus]], curres [[hydropicus]], [[wohl]] [[denn]], willst du [[gesund]] [[nicht]] [[laufen]], Hor.: [[atqui]] si [[tempus]] est ullum, [[wenn]] es [[nun]] [[aber]] [[irgend]] eine [[Zeit]] gibt, Cic. – [[bei]] vorangehender [[Negation]] od. [[einer]] negativen [[Frage]], deren [[Inhalt]] [[nicht]] geleugnet, [[aber]] [[durch]] [[einen]] andern Gedanken gemildert wird, [[gleichwohl]] [[eben]], [[dagegen]] [[eben]], [[dagegen]] [[vielmehr]], o rem, inquis, difficilem et inexplicabilem. Atqui explicanda est, Cic.: modum statuarum haberi nullum placet? Atqui habeatur [[necesse]] est, Cic. – zuw. verb. [[atqui]] [[certe]], zB. Cic. ad Att. 7, 7, 1; de nat. deor. 2, 18. – II) insbes. zur Anfügung eines Untersatzes ([[assumptio]], [[propositio]] [[minor]] in der philos. [[Sprache]]) in [[einer]] logischen Schlußfolge, [[nun]], [[nun]] [[aber]], [[quodsi]] virtutes pares sunt [[inter]] se, paria [[esse]] vitia [[etiam]] [[necesse]] est. Atqui pares [[esse]] virtutes... facillime potest perspici, Cic. Vgl. Wesenberg Cic. Tusc. 3, 14. p. 208, 15 ed. Baiter. – zuw. verb. [[atqui]] [[certe]], [[nun]] [[aber]] [[wenigstens]], [[nun]] [[aber]] [[zuverlässig]], Cic. – / Arch. atquei, Lucil. [[sat]]. 16, 4 u. 17, 6. | |||
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