coepio: Difference between revisions
Έγ', ὦ ταλαίπωρ', αὐτὸς ὧν χρείᾳ πάρει. Τὰ πολλὰ γάρ τοι ῥήματ' ἢ τέρψαντά τι, ἢ δυσχεράναντ', ἢ κατοικτίσαντά πως, παρέσχε φωνὴν τοῖς ἀφωνήτοις τινά –> Wretched brother, tell him what you need. A multitude of words can be pleasurable, burdensome, or they can arouse pity somehow — they give a kind of voice to the voiceless.
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|gf=<b>cœpiō</b>⁶ (arch. <b>cŏĕpĭō</b>), cœpĕre (cum, apĭo),<br /> <b>I</b> verbe de la période archaïque : commencer : Pl. Men. 960 ; Truc. 232 ; Pers. 121 ; Ter. Ad. 397.<br /> <b>II</b> les formes employées à la période classique sont celles du pf. et du supin : cœpī, cœptum, cœpisse, j’ai commencé ; dans Cic. et Cæs. on trouve seulement cœpi avec un inf. actif ou déponent ou avec fieri, et cœptus sum avec un inf. passif<br /><b>1</b> avec acc. : id [[quod]] cœpi Pl. Cas. 701, ce que j’ai commencé ; [[hujuscemodi]] orationem cœpit Tac. Ann. 4, 37, il commença un discours à peu près en ces [[termes]] ; cœpturi [[bellum]] Liv. 42, 47, 3, prêts à commencer la guerre<br /><b>2</b> avec inf. actif : cœpi [[velle]] Cic. Fam. 7, 5, 1, le désir m’[[est]] venu que ; cum [[ver]] [[esse]] cœperat Cic. Verr. 2, 5, 27, quand le printemps commençait ; ut cœpi dicere Cic. Amer. 91, comme j’ai commencé à le [[dire]] ; plura fieri judicia cœperunt Cic. Br. 106, les actions judiciaires commencèrent à se multiplier (Fam. 14, 18, 1) ; [[primo]] gravari cœpit Cic. Clu. 69, il commença à faire des difficultés || inf. s.-ent. : repete quæ cœperas Cic. Nat. 1, 17, reprends ce que tu avais commencé à [[dire]] ; istam rationem, [[quam]] cœpisti, tene Cic. Leg. 2, 69, [[suis]] le plan que tu as commencé [à suivre]<br /><b>3</b> avec inf. pass. : [[innocentia]] [[pro]] [[malevolentia]] duci cœpit Sall. C. 12, 1, l’intégrité commença à [[passer]] pour malveillance ; [[occidi]] cœpere Tac. H. 3, 34, on se mit à les tuer<br /><b>4</b> pf. passif : [[est]] id [[quidem]] cœptum [[atque]] temptatum Cic. Cat. 4, 17, oui, [[cette]] mesure a été entreprise et tentée ; id cœptum [[esse]] [[leniter]] ferret ? Cic. Cæl. 54, il verrait avec indifférence ce crime entrepris ? is cum [[satis]] floruisset [[adulescens]], [[minor]] haberi cœptus [[est]] [[postea]] Cic. Br. 236, après avoir eu dans sa jeunesse assez d’éclat, il commença dans la suite à voir baisser sa réputation ; cœptum [[esse]] in [[Sicilia]] moveri [[aliquot]] locis [[servitium]] [[suspicor]] Cic. Verr. 2, 5, 9, je soupçonne que des mouvements d’esclaves commencèrent en Sicile sur bon nombre de points ; [[pons]] institui cœptus [[est]] Cæs. G. 4, 18, 4, on se mit à construire un pont || [[rare]] : loqui [[est]] cœptum Cæl. d. Cic. Fam. 8, 8, 2, on commença à parler ; cum cœptum (erat) in hostem progredi Gell. 1, 11, 3, quand on avait commencé l’attaque contre l’ennemi || cœpta [[luce]] Tac. Ann. 1, 65, au commencement du jour ; [[nocte]] cœpta Tac. Ann. 2, 13, au commencement de la nuit ; cœpta hieme Tac. Ann. 12, 31, au début de l’hiver<br /><b>5</b> [pris intrans<sup>t</sup>] commencer, débuter : [[sic]] [[odium]] cœpit glandis Lucr. 5, 1416, c’[[est]] ainsi qu’on se prit de dégoût pour le gland ; [[ubi]] [[silentium]] cœpit Sall. J. 33, 3, quand le silence fut établi ; quibus ex virtute [[nobilitas]] cœpit Sall. J. 85, 17, dont la noblesse a commencé par le mérite ; civile [[bellum]] a Vitellio cœpit Tac. H. 2, 47, la guerre civile [[est]] partie de [[Vitellius]]. coëpit en trois syll. dans Lucr. 4, 619 [comme souvent chez les comiques] || forme syncopée cœpsti = cœpisti Cæcil. d. Non. 134, 15.||inf. s.-ent. : repete quæ cœperas Cic. Nat. 1, 17, reprends ce que tu avais commencé à [[dire]] ; istam rationem, [[quam]] cœpisti, tene Cic. Leg. 2, 69, [[suis]] le plan que tu as commencé [à suivre]<br /><b>3</b> avec inf. pass. : [[innocentia]] [[pro]] [[malevolentia]] duci cœpit Sall. C. 12, 1, l’intégrité commença à [[passer]] pour malveillance ; [[occidi]] cœpere Tac. H. 3, 34, on se mit à les tuer<br /><b>4</b> pf. passif : [[est]] id [[quidem]] cœptum [[atque]] temptatum Cic. Cat. 4, 17, oui, [[cette]] mesure a été entreprise et tentée ; id cœptum [[esse]] [[leniter]] ferret ? Cic. Cæl. 54, il verrait avec indifférence ce crime entrepris ? is cum [[satis]] floruisset [[adulescens]], [[minor]] haberi cœptus [[est]] [[postea]] Cic. Br. 236, après avoir eu dans sa jeunesse assez d’éclat, il commença dans la suite à voir baisser sa réputation ; cœptum [[esse]] in [[Sicilia]] moveri [[aliquot]] locis [[servitium]] [[suspicor]] Cic. Verr. 2, 5, 9, je soupçonne que des mouvements d’esclaves commencèrent en Sicile sur bon nombre de points ; [[pons]] institui cœptus [[est]] Cæs. G. 4, 18, 4, on se mit à construire un pont||[[rare]] : loqui [[est]] cœptum Cæl. d. Cic. Fam. 8, 8, 2, on commença à parler ; cum cœptum (erat) in hostem progredi Gell. 1, 11, 3, quand on avait commencé l’attaque contre l’ennemi||cœpta [[luce]] Tac. Ann. 1, 65, au commencement du jour ; [[nocte]] cœpta Tac. Ann. 2, 13, au commencement de la nuit ; cœpta hieme Tac. Ann. 12, 31, au début de l’hiver<br /><b>5</b> [pris intrans<sup>t</sup>] commencer, débuter : [[sic]] [[odium]] cœpit glandis Lucr. 5, 1416, c’[[est]] ainsi qu’on se prit de dégoût pour le gland ; [[ubi]] [[silentium]] cœpit Sall. J. 33, 3, quand le silence fut établi ; quibus ex virtute [[nobilitas]] cœpit Sall. J. 85, 17, dont la noblesse a commencé par le mérite ; civile [[bellum]] a Vitellio cœpit Tac. H. 2, 47, la guerre civile [[est]] partie de [[Vitellius]]. coëpit en trois syll. dans Lucr. 4, 619 [comme souvent chez les comiques]| | |gf=<b>cœpiō</b>⁶ (arch. <b>cŏĕpĭō</b>), cœpĕre (cum, apĭo),<br /> <b>I</b> verbe de la période archaïque : commencer : Pl. Men. 960 ; Truc. 232 ; Pers. 121 ; Ter. Ad. 397.<br /> <b>II</b> les formes employées à la période classique sont celles du pf. et du supin : cœpī, cœptum, cœpisse, j’ai commencé ; dans Cic. et Cæs. on trouve seulement cœpi avec un inf. actif ou déponent ou avec fieri, et cœptus sum avec un inf. passif<br /><b>1</b> avec acc. : id [[quod]] cœpi Pl. Cas. 701, ce que j’ai commencé ; [[hujuscemodi]] orationem cœpit Tac. Ann. 4, 37, il commença un discours à peu près en ces [[termes]] ; cœpturi [[bellum]] Liv. 42, 47, 3, prêts à commencer la guerre<br /><b>2</b> avec inf. actif : cœpi [[velle]] Cic. Fam. 7, 5, 1, le désir m’[[est]] venu que ; cum [[ver]] [[esse]] cœperat Cic. Verr. 2, 5, 27, quand le printemps commençait ; ut cœpi dicere Cic. Amer. 91, comme j’ai commencé à le [[dire]] ; plura fieri judicia cœperunt Cic. Br. 106, les actions judiciaires commencèrent à se multiplier (Fam. 14, 18, 1) ; [[primo]] gravari cœpit Cic. Clu. 69, il commença à faire des difficultés || inf. s.-ent. : repete quæ cœperas Cic. Nat. 1, 17, reprends ce que tu avais commencé à [[dire]] ; istam rationem, [[quam]] cœpisti, tene Cic. Leg. 2, 69, [[suis]] le plan que tu as commencé [à suivre]<br /><b>3</b> avec inf. pass. : [[innocentia]] [[pro]] [[malevolentia]] duci cœpit Sall. C. 12, 1, l’intégrité commença à [[passer]] pour malveillance ; [[occidi]] cœpere Tac. H. 3, 34, on se mit à les tuer<br /><b>4</b> pf. passif : [[est]] id [[quidem]] cœptum [[atque]] temptatum Cic. Cat. 4, 17, oui, [[cette]] mesure a été entreprise et tentée ; id cœptum [[esse]] [[leniter]] ferret ? Cic. Cæl. 54, il verrait avec indifférence ce crime entrepris ? is cum [[satis]] floruisset [[adulescens]], [[minor]] haberi cœptus [[est]] [[postea]] Cic. Br. 236, après avoir eu dans sa jeunesse assez d’éclat, il commença dans la suite à voir baisser sa réputation ; cœptum [[esse]] in [[Sicilia]] moveri [[aliquot]] locis [[servitium]] [[suspicor]] Cic. Verr. 2, 5, 9, je soupçonne que des mouvements d’esclaves commencèrent en Sicile sur bon nombre de points ; [[pons]] institui cœptus [[est]] Cæs. G. 4, 18, 4, on se mit à construire un pont || [[rare]] : loqui [[est]] cœptum Cæl. d. Cic. Fam. 8, 8, 2, on commença à parler ; cum cœptum (erat) in hostem progredi Gell. 1, 11, 3, quand on avait commencé l’attaque contre l’ennemi || cœpta [[luce]] Tac. Ann. 1, 65, au commencement du jour ; [[nocte]] cœpta Tac. Ann. 2, 13, au commencement de la nuit ; cœpta hieme Tac. Ann. 12, 31, au début de l’hiver<br /><b>5</b> [pris intrans<sup>t</sup>] commencer, débuter : [[sic]] [[odium]] cœpit glandis Lucr. 5, 1416, c’[[est]] ainsi qu’on se prit de dégoût pour le gland ; [[ubi]] [[silentium]] cœpit Sall. J. 33, 3, quand le silence fut établi ; quibus ex virtute [[nobilitas]] cœpit Sall. J. 85, 17, dont la noblesse a commencé par le mérite ; civile [[bellum]] a Vitellio cœpit Tac. H. 2, 47, la guerre civile [[est]] partie de [[Vitellius]]. coëpit en trois syll. dans Lucr. 4, 619 [comme souvent chez les comiques] || forme syncopée cœpsti = cœpisti Cæcil. d. Non. 134, 15.||inf. s.-ent. : repete quæ cœperas Cic. Nat. 1, 17, reprends ce que tu avais commencé à [[dire]] ; istam rationem, [[quam]] cœpisti, tene Cic. Leg. 2, 69, [[suis]] le plan que tu as commencé [à suivre]<br /><b>3</b> avec inf. pass. : [[innocentia]] [[pro]] [[malevolentia]] duci cœpit Sall. C. 12, 1, l’intégrité commença à [[passer]] pour malveillance ; [[occidi]] cœpere Tac. H. 3, 34, on se mit à les tuer<br /><b>4</b> pf. passif : [[est]] id [[quidem]] cœptum [[atque]] temptatum Cic. Cat. 4, 17, oui, [[cette]] mesure a été entreprise et tentée ; id cœptum [[esse]] [[leniter]] ferret ? Cic. Cæl. 54, il verrait avec indifférence ce crime entrepris ? is cum [[satis]] floruisset [[adulescens]], [[minor]] haberi cœptus [[est]] [[postea]] Cic. Br. 236, après avoir eu dans sa jeunesse assez d’éclat, il commença dans la suite à voir baisser sa réputation ; cœptum [[esse]] in [[Sicilia]] moveri [[aliquot]] locis [[servitium]] [[suspicor]] Cic. Verr. 2, 5, 9, je soupçonne que des mouvements d’esclaves commencèrent en Sicile sur bon nombre de points ; [[pons]] institui cœptus [[est]] Cæs. G. 4, 18, 4, on se mit à construire un pont||[[rare]] : loqui [[est]] cœptum Cæl. d. Cic. Fam. 8, 8, 2, on commença à parler ; cum cœptum (erat) in hostem progredi Gell. 1, 11, 3, quand on avait commencé l’attaque contre l’ennemi||cœpta [[luce]] Tac. Ann. 1, 65, au commencement du jour ; [[nocte]] cœpta Tac. Ann. 2, 13, au commencement de la nuit ; cœpta hieme Tac. Ann. 12, 31, au début de l’hiver<br /><b>5</b> [pris intrans<sup>t</sup>] commencer, débuter : [[sic]] [[odium]] cœpit glandis Lucr. 5, 1416, c’[[est]] ainsi qu’on se prit de dégoût pour le gland ; [[ubi]] [[silentium]] cœpit Sall. J. 33, 3, quand le silence fut établi ; quibus ex virtute [[nobilitas]] cœpit Sall. J. 85, 17, dont la noblesse a commencé par le mérite ; civile [[bellum]] a Vitellio cœpit Tac. H. 2, 47, la guerre civile [[est]] partie de [[Vitellius]]. coëpit en trois syll. dans Lucr. 4, 619 [comme souvent chez les comiques]| | ||
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{{LaEn | |||
|lnetxt=coepio coepere, -, - V :: begin, commence, initiate; (rare early form, usu. shows only PERFDEF)<br />coepio coepio coepere, coepi, coeptus V :: begin, commence, initiate; set foot on; (usu. PERF PASS w/PASS INF; PRES early) | |||
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{{Georges | {{Georges | ||
|georg=coepio (arch. [[coipio]]), coepī, [[coeptum]], coepere (die [[tempora]] [[praes]]. [[nur]] in der vorklassischen [[Periode]]; die [[tempora]] perf. act. u. pass. [[sehr]] [[häufig]] in allen Perioden), v. tr. u. intr. (v. com u. [[apio]]), eig. etw. an mehreren Seiten [[anfassen]], -[[angreifen]]; dah. [[anfangen]], beginnen, [[unternehmen]], I) tr.: A) act.: a) tempp. [[praes]]., [[meist]] m. Acc.: [[mane]] [[coepiam]], Caecil. com. 90: [[neque]] pugnas [[neque]] [[ego]] litis [[coepio]], Plaut. Men. 960: [[ubi]] [[nil]] habeat, [[alium]] quaestum coepiat, Plaut. truc. 232: [[lubido]] [[extemplo]] coeperest [[convivium]], Plaut. Pers. 121: [[ille]] [[quicquid]] coeperet, Ter. adelph. 397: m. Infin., [[coepiam]] seditiosa verba loqui, [[Cato]] oratt. fr. inc. 17 (b. Paul. ex [[Fest]]. 59, 10). – b) tempp. perf.: [[coepi]], coeperam etc., m. Acc. od. absol., id [[quod]] [[coepi]], Plaut.: coepit cum talia [[vates]], [[folgendermaßen]] (zu [[reden]]) anhob, Verg.: [[iter]], [[quod]] coeperunt percurrunt, Curt.: [[quae]] coeperamus, Quint.: si [[quicquam]] [[hodie]] [[hic]] turbae coeperis, Ter.: magnis operibus perfectis [[obsidium]] coepit per L. Catilinam [[legatum]], Sall. fr.: [[obsidium]] coepit per praesidia, Tac.: [[huiusmodi]] orationem coepit, Tac.: u. m. Infin. act., c. orare, Nep.: [[coepi]] [[velle]] ([[ich]] habe mich dem Wunsche hingegeben, es am mir das [[Gelüste]] an), m. folg. Infin., Cic. ep. 7, 5, 1 u. Spät. (s. Hildebr. Apul. [[met]]. 4, 31. p. 292; vgl. Ggstz. coepit nolle [[quae]] pepigerat, Apul. flor. 18. p. 30, 7 Kr.): dicere [[coepi]], Cic., u. bl. [[coepi]], Verg., Liv. u.a., [[ich]] begann zu [[reden]], [[ich]] hob an (vgl. Fabri Sall. Iug. 109, 4): [[aber]] ut [[coepi]] dicere u. bl. ut [[coepi]], [[wie]] gesagt (stehende [[Formel]], um die unterbrochene [[Rede]] [[wieder]] aufzunehmen), Cic. Rosc. Am. 91 u. ad Att. 13, 28, 2: so [[auch]] ut coeperam dicere od. ut dicere coeperam, Petron. 75, 10. Augustin. tract. in Io. 124, 2. Fulg. contin. Virg. p. 149 M.: u. m. ab u. Abl., cum ab iis coeperim (sc. dicere), [[quae]] etc., Cels. 3, 2. p. 16, 15 D. – [[mit]] Infin. pass., gew. [[mit]] solchen, die reflexive [[Bedeutung]] [[haben]] (vgl. Dietsch Sall. Cat. 51, 40. p. 236 sq.), zB. si [[quae]] rapinae fieri (zu [[geschehen]]) coeperunt, Cic.: afflictari lamentarique coepisse ([[sich]] dem heftigsten [[Klagen]] u. [[Jammern]] [[hingeben]]), Cic.: [[paupertas]] probro haberi (zu [[gelten]]) coepit, Sall.: [[fiducia]] augeri ([[sich]] zu [[mehren]]) nostris coepit, Sall. fr. – [[doch]] [[auch]] [[mit]] reinem Infin. pass. (s. Nipperd. Quaest. Caes. p. 19), zB. coepit defricari, Cornif. rhet.: [[Maenius]] [[urbanus]] coepit haberi, Liv. (vgl. Fabri Liv. 21, 58, 10); [[amphora]] coepit institui, Hor.: si coepisset audiri, Curt.: [[corpus]] ut moveri a Miseno coepit, Suet.: [[Aeolis]] ab Aeoliis incoli coepit, [[Mela]]. – c) Partiz. [[Fut]]. [[coepturus]], m. Acc., zB. Romanos omnibus instructiores rebus coepturos [[bellum]], Liv. 42, 47, 3: nemine opinante, [[quidnam]] [[coepturus]] esset, Suet. Cal. 46: m. ab u. Abl., [[nos]] [[rite]] coepturi ab Homero videmur, Quint. 10, 1, 46. – B) pass., [[nur]] in den tempp. perf.: [[coeptus]] [[sum]], zB. [[ita]] cum Syphace Romanis [[amicitia]] coepta est, Liv.: Ggstz., [[coeptum]] (est) per [[eos]], [[qui]] agi volebant; desitum est per [[hunc]], [[qui]] decessit, Cic. [[pro]] Corn. 1. fr. 37 K. – [[bes]]. m. folg. Infin. pass., lapides iaci coepti sunt, Caes.: consuli coepti sumus, Cic.: abici [[arma]] ac [[dedi]] hostes coepti, Liv.: [[fuga]] ex acie [[duce]] amisso fieri coepta est, Liv.: [[postquam]] armis disceptari [[coeptum]] sit de iure [[publico]], Cic.: [[coeptum]] est referri de inducendo [[senatus]] [[consulto]], Cic.: [[apud]] Cadmeam cum Lacedaemoniis pugnari [[coeptum]] est, Nep. – [[selten]] m. Infin. act., surrexit et de damnatione [[ferventer]] loqui est [[coeptum]], Cael. in Cic. ep. 8, 8, 2: cum instructa (erat) [[acies]] coeptumque in hostem progredi, Gell. 1, 11, 3. - Partic., [[coeptum]] [[bellum]], Sall.: c. [[opus]], Ov.: P. Decii [[non]] coeptae [[modo]] [[ante]], [[sed]] cumulatae novā virtute laudes, Liv.: c. cum Antiocho [[bellum]], Liv. (vgl. Fabri Liv. 24, 48, 13): simulque [[coeptus]] [[dies]], Tac.: coeptae in rebus prosperis amicitiae, [[Fronto]]: im Abl. absol., coeptā [[luce]], Tac.: [[nocte]] coeptā, Tac.: coeptā hieme, Tac. – m. ab u. Abl. (zur [[Angabe]] [[des]] Ursprungs), herrührend, [[templum]] ab [[Agrippina]] [[coeptum]], Suet.: [[limes]] a Tiberio [[coeptus]], Tac.: horti a Lucullo coepti, Tac. (vgl. Walther Tac. ann. 1, 50 in.). – II) intr. [[anfangen]], beginnen, den [[Anfang]] [[nehmen]] (vgl. Korte u.a. zu Sall. Iug. 31, 4), [[sic]] [[odium]] coepit glandis, Lucr.: [[quoniam]] coepit Graecorum [[mentio]], Iuven.: [[ubi]] [[silentium]] coepit, Sall.: [[ubi]] [[dies]] coepit, Sall.: cum [[ver]] coepit, Sen.: [[quando]] coepisset [[febris]], Cels. – u. m. Adv. od. m. ab od. ex u. Abl. (zur [[Angabe]] [[des]] Ursprungs) [[herrühren]], [[unde]] ea coeperint, Cels.: a [[quo]] [[iurgium]] coepit, Quint.: a Tiberio Graccho seditiones graves coepere, Tac.: quibus ex virtute [[nobilitas]] coepit, Sall.: [[proditio]] coepit e [[domo]] Scaevini, Tac.: m. cum u. Abl., [[artis]] [[eius]] originem cum olympiadum [[initio]] coepisse, Plin. 36, 11: [[pictura]] [[aut]] statuaria, quarum [[utraque]] cum Phidia coepit, Plin. 36, 15. – / Eine Perfektform coepivi will A. Spengel (Philol. 32, 366) [[bei]] Plaut. Cas. 3, 5, 23 u. 57; cist. 4, 2, 19 u. merc. 533 [[herstellen]]. – coëpit [[bei]] Lucr. 4, 619 u. so [[auch]] öfters [[bei]] Plaut. | |georg=coepio (arch. [[coipio]]), coepī, [[coeptum]], coepere (die [[tempora]] [[praes]]. [[nur]] in der vorklassischen [[Periode]]; die [[tempora]] perf. act. u. pass. [[sehr]] [[häufig]] in allen Perioden), v. tr. u. intr. (v. com u. [[apio]]), eig. etw. an mehreren Seiten [[anfassen]], -[[angreifen]]; dah. [[anfangen]], beginnen, [[unternehmen]], I) tr.: A) act.: a) tempp. [[praes]]., [[meist]] m. Acc.: [[mane]] [[coepiam]], Caecil. com. 90: [[neque]] pugnas [[neque]] [[ego]] litis [[coepio]], Plaut. Men. 960: [[ubi]] [[nil]] habeat, [[alium]] quaestum coepiat, Plaut. truc. 232: [[lubido]] [[extemplo]] coeperest [[convivium]], Plaut. Pers. 121: [[ille]] [[quicquid]] coeperet, Ter. adelph. 397: m. Infin., [[coepiam]] seditiosa verba loqui, [[Cato]] oratt. fr. inc. 17 (b. Paul. ex [[Fest]]. 59, 10). – b) tempp. perf.: [[coepi]], coeperam etc., m. Acc. od. absol., id [[quod]] [[coepi]], Plaut.: coepit cum talia [[vates]], [[folgendermaßen]] (zu [[reden]]) anhob, Verg.: [[iter]], [[quod]] coeperunt percurrunt, Curt.: [[quae]] coeperamus, Quint.: si [[quicquam]] [[hodie]] [[hic]] turbae coeperis, Ter.: magnis operibus perfectis [[obsidium]] coepit per L. Catilinam [[legatum]], Sall. fr.: [[obsidium]] coepit per praesidia, Tac.: [[huiusmodi]] orationem coepit, Tac.: u. m. Infin. act., c. orare, Nep.: [[coepi]] [[velle]] ([[ich]] habe mich dem Wunsche hingegeben, es am mir das [[Gelüste]] an), m. folg. Infin., Cic. ep. 7, 5, 1 u. Spät. (s. Hildebr. Apul. [[met]]. 4, 31. p. 292; vgl. Ggstz. coepit nolle [[quae]] pepigerat, Apul. flor. 18. p. 30, 7 Kr.): dicere [[coepi]], Cic., u. bl. [[coepi]], Verg., Liv. u.a., [[ich]] begann zu [[reden]], [[ich]] hob an (vgl. Fabri Sall. Iug. 109, 4): [[aber]] ut [[coepi]] dicere u. bl. ut [[coepi]], [[wie]] gesagt (stehende [[Formel]], um die unterbrochene [[Rede]] [[wieder]] aufzunehmen), Cic. Rosc. Am. 91 u. ad Att. 13, 28, 2: so [[auch]] ut coeperam dicere od. ut dicere coeperam, Petron. 75, 10. Augustin. tract. in Io. 124, 2. Fulg. contin. Virg. p. 149 M.: u. m. ab u. Abl., cum ab iis coeperim (sc. dicere), [[quae]] etc., Cels. 3, 2. p. 16, 15 D. – [[mit]] Infin. pass., gew. [[mit]] solchen, die reflexive [[Bedeutung]] [[haben]] (vgl. Dietsch Sall. Cat. 51, 40. p. 236 sq.), zB. si [[quae]] rapinae fieri (zu [[geschehen]]) coeperunt, Cic.: afflictari lamentarique coepisse ([[sich]] dem heftigsten [[Klagen]] u. [[Jammern]] [[hingeben]]), Cic.: [[paupertas]] probro haberi (zu [[gelten]]) coepit, Sall.: [[fiducia]] augeri ([[sich]] zu [[mehren]]) nostris coepit, Sall. fr. – [[doch]] [[auch]] [[mit]] reinem Infin. pass. (s. Nipperd. Quaest. Caes. p. 19), zB. coepit defricari, Cornif. rhet.: [[Maenius]] [[urbanus]] coepit haberi, Liv. (vgl. Fabri Liv. 21, 58, 10); [[amphora]] coepit institui, Hor.: si coepisset audiri, Curt.: [[corpus]] ut moveri a Miseno coepit, Suet.: [[Aeolis]] ab Aeoliis incoli coepit, [[Mela]]. – c) Partiz. [[Fut]]. [[coepturus]], m. Acc., zB. Romanos omnibus instructiores rebus coepturos [[bellum]], Liv. 42, 47, 3: nemine opinante, [[quidnam]] [[coepturus]] esset, Suet. Cal. 46: m. ab u. Abl., [[nos]] [[rite]] coepturi ab Homero videmur, Quint. 10, 1, 46. – B) pass., [[nur]] in den tempp. perf.: [[coeptus]] [[sum]], zB. [[ita]] cum Syphace Romanis [[amicitia]] coepta est, Liv.: Ggstz., [[coeptum]] (est) per [[eos]], [[qui]] agi volebant; desitum est per [[hunc]], [[qui]] decessit, Cic. [[pro]] Corn. 1. fr. 37 K. – [[bes]]. m. folg. Infin. pass., lapides iaci coepti sunt, Caes.: consuli coepti sumus, Cic.: abici [[arma]] ac [[dedi]] hostes coepti, Liv.: [[fuga]] ex acie [[duce]] amisso fieri coepta est, Liv.: [[postquam]] armis disceptari [[coeptum]] sit de iure [[publico]], Cic.: [[coeptum]] est referri de inducendo [[senatus]] [[consulto]], Cic.: [[apud]] Cadmeam cum Lacedaemoniis pugnari [[coeptum]] est, Nep. – [[selten]] m. Infin. act., surrexit et de damnatione [[ferventer]] loqui est [[coeptum]], Cael. in Cic. ep. 8, 8, 2: cum instructa (erat) [[acies]] coeptumque in hostem progredi, Gell. 1, 11, 3. - Partic., [[coeptum]] [[bellum]], Sall.: c. [[opus]], Ov.: P. Decii [[non]] coeptae [[modo]] [[ante]], [[sed]] cumulatae novā virtute laudes, Liv.: c. cum Antiocho [[bellum]], Liv. (vgl. Fabri Liv. 24, 48, 13): simulque [[coeptus]] [[dies]], Tac.: coeptae in rebus prosperis amicitiae, [[Fronto]]: im Abl. absol., coeptā [[luce]], Tac.: [[nocte]] coeptā, Tac.: coeptā hieme, Tac. – m. ab u. Abl. (zur [[Angabe]] [[des]] Ursprungs), herrührend, [[templum]] ab [[Agrippina]] [[coeptum]], Suet.: [[limes]] a Tiberio [[coeptus]], Tac.: horti a Lucullo coepti, Tac. (vgl. Walther Tac. ann. 1, 50 in.). – II) intr. [[anfangen]], beginnen, den [[Anfang]] [[nehmen]] (vgl. Korte u.a. zu Sall. Iug. 31, 4), [[sic]] [[odium]] coepit glandis, Lucr.: [[quoniam]] coepit Graecorum [[mentio]], Iuven.: [[ubi]] [[silentium]] coepit, Sall.: [[ubi]] [[dies]] coepit, Sall.: cum [[ver]] coepit, Sen.: [[quando]] coepisset [[febris]], Cels. – u. m. Adv. od. m. ab od. ex u. Abl. (zur [[Angabe]] [[des]] Ursprungs) [[herrühren]], [[unde]] ea coeperint, Cels.: a [[quo]] [[iurgium]] coepit, Quint.: a Tiberio Graccho seditiones graves coepere, Tac.: quibus ex virtute [[nobilitas]] coepit, Sall.: [[proditio]] coepit e [[domo]] Scaevini, Tac.: m. cum u. Abl., [[artis]] [[eius]] originem cum olympiadum [[initio]] coepisse, Plin. 36, 11: [[pictura]] [[aut]] statuaria, quarum [[utraque]] cum Phidia coepit, Plin. 36, 15. – / Eine Perfektform coepivi will A. Spengel (Philol. 32, 366) [[bei]] Plaut. Cas. 3, 5, 23 u. 57; cist. 4, 2, 19 u. merc. 533 [[herstellen]]. – coëpit [[bei]] Lucr. 4, 619 u. so [[auch]] öfters [[bei]] Plaut. | ||
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Revision as of 16:17, 19 October 2022
Latin > French (Gaffiot 2016)
cœpiō⁶ (arch. cŏĕpĭō), cœpĕre (cum, apĭo),
I verbe de la période archaïque : commencer : Pl. Men. 960 ; Truc. 232 ; Pers. 121 ; Ter. Ad. 397.
II les formes employées à la période classique sont celles du pf. et du supin : cœpī, cœptum, cœpisse, j’ai commencé ; dans Cic. et Cæs. on trouve seulement cœpi avec un inf. actif ou déponent ou avec fieri, et cœptus sum avec un inf. passif
1 avec acc. : id quod cœpi Pl. Cas. 701, ce que j’ai commencé ; hujuscemodi orationem cœpit Tac. Ann. 4, 37, il commença un discours à peu près en ces termes ; cœpturi bellum Liv. 42, 47, 3, prêts à commencer la guerre
2 avec inf. actif : cœpi velle Cic. Fam. 7, 5, 1, le désir m’est venu que ; cum ver esse cœperat Cic. Verr. 2, 5, 27, quand le printemps commençait ; ut cœpi dicere Cic. Amer. 91, comme j’ai commencé à le dire ; plura fieri judicia cœperunt Cic. Br. 106, les actions judiciaires commencèrent à se multiplier (Fam. 14, 18, 1) ; primo gravari cœpit Cic. Clu. 69, il commença à faire des difficultés || inf. s.-ent. : repete quæ cœperas Cic. Nat. 1, 17, reprends ce que tu avais commencé à dire ; istam rationem, quam cœpisti, tene Cic. Leg. 2, 69, suis le plan que tu as commencé [à suivre]
3 avec inf. pass. : innocentia pro malevolentia duci cœpit Sall. C. 12, 1, l’intégrité commença à passer pour malveillance ; occidi cœpere Tac. H. 3, 34, on se mit à les tuer
4 pf. passif : est id quidem cœptum atque temptatum Cic. Cat. 4, 17, oui, cette mesure a été entreprise et tentée ; id cœptum esse leniter ferret ? Cic. Cæl. 54, il verrait avec indifférence ce crime entrepris ? is cum satis floruisset adulescens, minor haberi cœptus est postea Cic. Br. 236, après avoir eu dans sa jeunesse assez d’éclat, il commença dans la suite à voir baisser sa réputation ; cœptum esse in Sicilia moveri aliquot locis servitium suspicor Cic. Verr. 2, 5, 9, je soupçonne que des mouvements d’esclaves commencèrent en Sicile sur bon nombre de points ; pons institui cœptus est Cæs. G. 4, 18, 4, on se mit à construire un pont || rare : loqui est cœptum Cæl. d. Cic. Fam. 8, 8, 2, on commença à parler ; cum cœptum (erat) in hostem progredi Gell. 1, 11, 3, quand on avait commencé l’attaque contre l’ennemi || cœpta luce Tac. Ann. 1, 65, au commencement du jour ; nocte cœpta Tac. Ann. 2, 13, au commencement de la nuit ; cœpta hieme Tac. Ann. 12, 31, au début de l’hiver
5 [pris intranst] commencer, débuter : sic odium cœpit glandis Lucr. 5, 1416, c’est ainsi qu’on se prit de dégoût pour le gland ; ubi silentium cœpit Sall. J. 33, 3, quand le silence fut établi ; quibus ex virtute nobilitas cœpit Sall. J. 85, 17, dont la noblesse a commencé par le mérite ; civile bellum a Vitellio cœpit Tac. H. 2, 47, la guerre civile est partie de Vitellius. coëpit en trois syll. dans Lucr. 4, 619 [comme souvent chez les comiques] || forme syncopée cœpsti = cœpisti Cæcil. d. Non. 134, 15.
Latin > English
coepio coepere, -, - V :: begin, commence, initiate; (rare early form, usu. shows only PERFDEF)
coepio coepio coepere, coepi, coeptus V :: begin, commence, initiate; set foot on; (usu. PERF PASS w/PASS INF; PRES early)
Latin > German (Georges)
coepio (arch. coipio), coepī, coeptum, coepere (die tempora praes. nur in der vorklassischen Periode; die tempora perf. act. u. pass. sehr häufig in allen Perioden), v. tr. u. intr. (v. com u. apio), eig. etw. an mehreren Seiten anfassen, -angreifen; dah. anfangen, beginnen, unternehmen, I) tr.: A) act.: a) tempp. praes., meist m. Acc.: mane coepiam, Caecil. com. 90: neque pugnas neque ego litis coepio, Plaut. Men. 960: ubi nil habeat, alium quaestum coepiat, Plaut. truc. 232: lubido extemplo coeperest convivium, Plaut. Pers. 121: ille quicquid coeperet, Ter. adelph. 397: m. Infin., coepiam seditiosa verba loqui, Cato oratt. fr. inc. 17 (b. Paul. ex Fest. 59, 10). – b) tempp. perf.: coepi, coeperam etc., m. Acc. od. absol., id quod coepi, Plaut.: coepit cum talia vates, folgendermaßen (zu reden) anhob, Verg.: iter, quod coeperunt percurrunt, Curt.: quae coeperamus, Quint.: si quicquam hodie hic turbae coeperis, Ter.: magnis operibus perfectis obsidium coepit per L. Catilinam legatum, Sall. fr.: obsidium coepit per praesidia, Tac.: huiusmodi orationem coepit, Tac.: u. m. Infin. act., c. orare, Nep.: coepi velle (ich habe mich dem Wunsche hingegeben, es am mir das Gelüste an), m. folg. Infin., Cic. ep. 7, 5, 1 u. Spät. (s. Hildebr. Apul. met. 4, 31. p. 292; vgl. Ggstz. coepit nolle quae pepigerat, Apul. flor. 18. p. 30, 7 Kr.): dicere coepi, Cic., u. bl. coepi, Verg., Liv. u.a., ich begann zu reden, ich hob an (vgl. Fabri Sall. Iug. 109, 4): aber ut coepi dicere u. bl. ut coepi, wie gesagt (stehende Formel, um die unterbrochene Rede wieder aufzunehmen), Cic. Rosc. Am. 91 u. ad Att. 13, 28, 2: so auch ut coeperam dicere od. ut dicere coeperam, Petron. 75, 10. Augustin. tract. in Io. 124, 2. Fulg. contin. Virg. p. 149 M.: u. m. ab u. Abl., cum ab iis coeperim (sc. dicere), quae etc., Cels. 3, 2. p. 16, 15 D. – mit Infin. pass., gew. mit solchen, die reflexive Bedeutung haben (vgl. Dietsch Sall. Cat. 51, 40. p. 236 sq.), zB. si quae rapinae fieri (zu geschehen) coeperunt, Cic.: afflictari lamentarique coepisse (sich dem heftigsten Klagen u. Jammern hingeben), Cic.: paupertas probro haberi (zu gelten) coepit, Sall.: fiducia augeri (sich zu mehren) nostris coepit, Sall. fr. – doch auch mit reinem Infin. pass. (s. Nipperd. Quaest. Caes. p. 19), zB. coepit defricari, Cornif. rhet.: Maenius urbanus coepit haberi, Liv. (vgl. Fabri Liv. 21, 58, 10); amphora coepit institui, Hor.: si coepisset audiri, Curt.: corpus ut moveri a Miseno coepit, Suet.: Aeolis ab Aeoliis incoli coepit, Mela. – c) Partiz. Fut. coepturus, m. Acc., zB. Romanos omnibus instructiores rebus coepturos bellum, Liv. 42, 47, 3: nemine opinante, quidnam coepturus esset, Suet. Cal. 46: m. ab u. Abl., nos rite coepturi ab Homero videmur, Quint. 10, 1, 46. – B) pass., nur in den tempp. perf.: coeptus sum, zB. ita cum Syphace Romanis amicitia coepta est, Liv.: Ggstz., coeptum (est) per eos, qui agi volebant; desitum est per hunc, qui decessit, Cic. pro Corn. 1. fr. 37 K. – bes. m. folg. Infin. pass., lapides iaci coepti sunt, Caes.: consuli coepti sumus, Cic.: abici arma ac dedi hostes coepti, Liv.: fuga ex acie duce amisso fieri coepta est, Liv.: postquam armis disceptari coeptum sit de iure publico, Cic.: coeptum est referri de inducendo senatus consulto, Cic.: apud Cadmeam cum Lacedaemoniis pugnari coeptum est, Nep. – selten m. Infin. act., surrexit et de damnatione ferventer loqui est coeptum, Cael. in Cic. ep. 8, 8, 2: cum instructa (erat) acies coeptumque in hostem progredi, Gell. 1, 11, 3. - Partic., coeptum bellum, Sall.: c. opus, Ov.: P. Decii non coeptae modo ante, sed cumulatae novā virtute laudes, Liv.: c. cum Antiocho bellum, Liv. (vgl. Fabri Liv. 24, 48, 13): simulque coeptus dies, Tac.: coeptae in rebus prosperis amicitiae, Fronto: im Abl. absol., coeptā luce, Tac.: nocte coeptā, Tac.: coeptā hieme, Tac. – m. ab u. Abl. (zur Angabe des Ursprungs), herrührend, templum ab Agrippina coeptum, Suet.: limes a Tiberio coeptus, Tac.: horti a Lucullo coepti, Tac. (vgl. Walther Tac. ann. 1, 50 in.). – II) intr. anfangen, beginnen, den Anfang nehmen (vgl. Korte u.a. zu Sall. Iug. 31, 4), sic odium coepit glandis, Lucr.: quoniam coepit Graecorum mentio, Iuven.: ubi silentium coepit, Sall.: ubi dies coepit, Sall.: cum ver coepit, Sen.: quando coepisset febris, Cels. – u. m. Adv. od. m. ab od. ex u. Abl. (zur Angabe des Ursprungs) herrühren, unde ea coeperint, Cels.: a quo iurgium coepit, Quint.: a Tiberio Graccho seditiones graves coepere, Tac.: quibus ex virtute nobilitas coepit, Sall.: proditio coepit e domo Scaevini, Tac.: m. cum u. Abl., artis eius originem cum olympiadum initio coepisse, Plin. 36, 11: pictura aut statuaria, quarum utraque cum Phidia coepit, Plin. 36, 15. – / Eine Perfektform coepivi will A. Spengel (Philol. 32, 366) bei Plaut. Cas. 3, 5, 23 u. 57; cist. 4, 2, 19 u. merc. 533 herstellen. – coëpit bei Lucr. 4, 619 u. so auch öfters bei Plaut.