cesso: Difference between revisions
Ζήσεις βίον κράτιστον, ἢν θυμοῦ κρατῇς → Vives bene, si sis vacuus iracundia → Am besten lebst du, wenn du deinen Zorn beherrschst
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|[avec inf.] tarder à faire qqch. : [[cesso]] [[huc]] [[intro]] rumpere ? Ter. Eun. 996, je [[tarde]] à entrer ?=il [[est]] temps que j’entre ( Pl. Epid. 342, etc. ) : [[quid]] mori cessas ? Hor. O. 3, 27, 58, que tardes-tu à mourir ?||[droit] ne pas comparaître au jour dit en justice, faire défaut : [[nullo]] delectu culpane [[quis]] an [[aliqua]] necessitate cessasset Suet. Claud. 15, sans distinguer si la personne avait fait défaut par sa faute ou par nécessité, cf. Ulp. Dig. 47, 10, 17, 20||[fig.] tarder à venir, ne pas être présent : [[non]] deterendum id [[bonum]], si [[quod]] ingenitum [[est]], [[existimo]], [[sed]] augendum addendumque [[quod]] cessat Quint. 2, 8, 10, s’il ne faut pas détruire, à mon [[avis]], les bonnes qualités naturelles du futur orateur, par contre, il faut développer et stimuler celles qui sont lentes à venir||ne pas arriver, manquer : [[quod]] cessat ex reditu, frugalitate suppletur Plin. Min. Ep. 2, 4, 3, ce qui manque à mes revenus, ma frugalité le supplée<br /><b>2</b> suspendre son activité, s’interrompre, se reposer : et properare [[loco]] et cessare Hor. Ep. 1, 7, 57, travailler activement et se reposer à [[propos]] ; strenuum hominem et [[numquam]] cessantem ! Curt. 7, 2, 26, quel homme actif et jamais au repos ! [[cur]] in lustris [[tam]] eximia [[virtus]] [[tam]] [[diu]] cessavit ? Cic. Sen. 13, pourquoi ce mérite si éclatant s’[[est]]-il reposé si longtemps dans les bouges ? epistulæ tuæ cessant Plin. Min. Ep. 3, 17, 1, ta correspondance se ralentit||[avec in abl.] : [[neque]] [[umquam]] in [[suo]] studio [[atque]] opere cessavit Cic. CM 13, jamais il ne s’interrompit dans ses études et son travail ; in [[officio]] cessare Liv. 45, 23, 10, se relâcher dans l’accomplissement de ses devoirs ; in [[quo]] [[quisque]] cessasset, prodi ab se salutem omnium rebatur Liv. 30, 9, 9, chacun croyait que se ralentir dans sa tâche (s’attarder, perdre son temps), c’était trahir la cause [[commune]]||[avec abl.] : muliebri [[audacia]] cessare Liv. 1, 46, 6, ne pas avoir en soi l’audace ordinaire aux femmes ; se [[nullo]] [[usquam]] cessaturum [[officio]] Liv. 42, 6, 8, il ne se déroberait en aucune circonstance devant un service à rendre ; [[prima]] [[dies]] cessavit Marte [[cruento]] Luc. 4, 24, le premier jour se passa sans l’ensanglantement du combat||[avec ab ] s’arrêter de : ab apparatu operum [[nihil]] cessatum Liv. 21, 8, 1, on ne discontinua en [[rien]] les travaux (4, 27, 5 ; 10, 39, 6 ; 21, 11, 5, etc. ) ; [[nec]] ullum erat [[tempus]], [[quod]] a novæ [[semper]] [[cladis]] alicujus spectaculo cessaret Liv. 5, 42, 6, il n’y avait pas un instant qui cessât d’offrir le spectacle de quelque désastre toujours nouveau||[avec in acc.] : cessas in vota precesque ? Virg. En. 6, 51, tu tardes à offrir tes vœux et tes prières ?||[avec inf.] : Cyrum urgere [[non]] [[cesso]] Cic. Q. 2, 2, 1, je ne cesse pas de presser [[Cyrus]] (Att. 11, 11, 2 ; Pis. 59 ; Q. 3, 5, 1 )||[fig.] se relâcher, se négliger : qui [[multum]] cessat Hor. P. 357, l’écrivain qui a beaucoup de négligences ; ([[imago]] oratoris perfecti) et nulla parte cessantis Quint. 1, 10, 4 (l’image de l’orateur parfait) et qui ne bronche sur aucun point<br /><b>3</b> être oisif, ne [[rien]] faire : [[nisi]] [[forte]] cessare [[nunc]] [[videor]], cum bella [[non]] [[gero]] Cic. CM 18, à moins que je ne paraisse être oisif maintenant que je ne fais pas la guerre ; pueri, [[etiam]] cum cessant, exercitatione [[aliqua]] ludicra delectantur Cic. Nat. 1, 102, les enfants, même dans l’oisiveté, s’exercent (s’occupent) volontiers à quelque jeu ; in militibus vestris [[non]] cessat [[ira]] deæ Liv. 29, 18, 10, sur [[vos]] soldats la colère de la déesse n’[[est]] pas inactive (elle se [[manifeste]])| | |[avec inf.] tarder à faire qqch. : [[cesso]] [[huc]] [[intro]] rumpere ? Ter. Eun. 996, je [[tarde]] à entrer ?=il [[est]] temps que j’entre ( Pl. Epid. 342, etc. ) : [[quid]] mori cessas ? Hor. O. 3, 27, 58, que tardes-tu à mourir ?||[droit] ne pas comparaître au jour dit en justice, faire défaut : [[nullo]] delectu culpane [[quis]] an [[aliqua]] necessitate cessasset Suet. Claud. 15, sans distinguer si la personne avait fait défaut par sa faute ou par nécessité, cf. Ulp. Dig. 47, 10, 17, 20||[fig.] tarder à venir, ne pas être présent : [[non]] deterendum id [[bonum]], si [[quod]] ingenitum [[est]], [[existimo]], [[sed]] augendum addendumque [[quod]] cessat Quint. 2, 8, 10, s’il ne faut pas détruire, à mon [[avis]], les bonnes qualités naturelles du futur orateur, par contre, il faut développer et stimuler celles qui sont lentes à venir||ne pas arriver, manquer : [[quod]] cessat ex reditu, frugalitate suppletur Plin. Min. Ep. 2, 4, 3, ce qui manque à mes revenus, ma frugalité le supplée<br /><b>2</b> suspendre son activité, s’interrompre, se reposer : et properare [[loco]] et cessare Hor. Ep. 1, 7, 57, travailler activement et se reposer à [[propos]] ; strenuum hominem et [[numquam]] cessantem ! Curt. 7, 2, 26, quel homme actif et jamais au repos ! [[cur]] in lustris [[tam]] eximia [[virtus]] [[tam]] [[diu]] cessavit ? Cic. Sen. 13, pourquoi ce mérite si éclatant s’[[est]]-il reposé si longtemps dans les bouges ? epistulæ tuæ cessant Plin. Min. Ep. 3, 17, 1, ta correspondance se ralentit||[avec in abl.] : [[neque]] [[umquam]] in [[suo]] studio [[atque]] opere cessavit Cic. CM 13, jamais il ne s’interrompit dans ses études et son travail ; in [[officio]] cessare Liv. 45, 23, 10, se relâcher dans l’accomplissement de ses devoirs ; in [[quo]] [[quisque]] cessasset, prodi ab se salutem omnium rebatur Liv. 30, 9, 9, chacun croyait que se ralentir dans sa tâche (s’attarder, perdre son temps), c’était trahir la cause [[commune]]||[avec abl.] : muliebri [[audacia]] cessare Liv. 1, 46, 6, ne pas avoir en soi l’audace ordinaire aux femmes ; se [[nullo]] [[usquam]] cessaturum [[officio]] Liv. 42, 6, 8, il ne se déroberait en aucune circonstance devant un service à rendre ; [[prima]] [[dies]] cessavit Marte [[cruento]] Luc. 4, 24, le premier jour se passa sans l’ensanglantement du combat||[avec ab ] s’arrêter de : ab apparatu operum [[nihil]] cessatum Liv. 21, 8, 1, on ne discontinua en [[rien]] les travaux (4, 27, 5 ; 10, 39, 6 ; 21, 11, 5, etc. ) ; [[nec]] ullum erat [[tempus]], [[quod]] a novæ [[semper]] [[cladis]] alicujus spectaculo cessaret Liv. 5, 42, 6, il n’y avait pas un instant qui cessât d’offrir le spectacle de quelque désastre toujours nouveau||[avec in acc.] : cessas in vota precesque ? Virg. En. 6, 51, tu tardes à offrir tes vœux et tes prières ?||[avec inf.] : Cyrum urgere [[non]] [[cesso]] Cic. Q. 2, 2, 1, je ne cesse pas de presser [[Cyrus]] (Att. 11, 11, 2 ; Pis. 59 ; Q. 3, 5, 1 )||[fig.] se relâcher, se négliger : qui [[multum]] cessat Hor. P. 357, l’écrivain qui a beaucoup de négligences ; ([[imago]] oratoris perfecti) et nulla parte cessantis Quint. 1, 10, 4 (l’image de l’orateur parfait) et qui ne bronche sur aucun point<br /><b>3</b> être oisif, ne [[rien]] faire : [[nisi]] [[forte]] cessare [[nunc]] [[videor]], cum bella [[non]] [[gero]] Cic. CM 18, à moins que je ne paraisse être oisif maintenant que je ne fais pas la guerre ; pueri, [[etiam]] cum cessant, exercitatione [[aliqua]] ludicra delectantur Cic. Nat. 1, 102, les enfants, même dans l’oisiveté, s’exercent (s’occupent) volontiers à quelque jeu ; in militibus vestris [[non]] cessat [[ira]] deæ Liv. 29, 18, 10, sur [[vos]] soldats la colère de la déesse n’[[est]] pas inactive (elle se [[manifeste]])| | ||
|[poét.] consacrer ses loisirs à qqch., s’adonner à, cessare alicui [[rei]]=vacare alicui [[rei]] : Prop. 1, 6, 21||être au repos : [[cur]] [[hic]] cessat [[cantharus]] ? Pl. St. 705, pourquoi [[cette]] coupe [[est]]-elle au repos ? [[cur]] Berecynthiæ cessant [[flamina]] tibiæ ? Hor. O. 3, 19, 19, pourquoi cesser de souffler dans la flûte Phrygienne ? cessat [[terra]] Ov. Tr. 3, 10, 70, la terre [[est]] au repos, reste en jachère ( Virg. G. 1, 71 ; Plin. 18, 191 ; Col. Rust. 2, 2, 7 )<br /><b>4</b> [poét., emploi [[trans]]. au passif] : cessatis in arvis Ov. F. 4, 617, dans les champs laissés au repos (M. 10, 669 ; Val. Max. 5, 10, 3 ). | |[poét.] consacrer ses loisirs à qqch., s’adonner à, cessare alicui [[rei]]=vacare alicui [[rei]] : Prop. 1, 6, 21||être au repos : [[cur]] [[hic]] cessat [[cantharus]] ? Pl. St. 705, pourquoi [[cette]] coupe [[est]]-elle au repos ? [[cur]] Berecynthiæ cessant [[flamina]] tibiæ ? Hor. O. 3, 19, 19, pourquoi cesser de souffler dans la flûte Phrygienne ? cessat [[terra]] Ov. Tr. 3, 10, 70, la terre [[est]] au repos, reste en jachère ( Virg. G. 1, 71 ; Plin. 18, 191 ; Col. Rust. 2, 2, 7 )<br /><b>4</b> [poét., emploi [[trans]]. au passif] : cessatis in arvis Ov. F. 4, 617, dans les champs laissés au repos (M. 10, 669 ; Val. Max. 5, 10, 3 ). | ||
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{{Georges | |||
|georg=cesso, āvī, ātum, āre (Frequ. v. [[cedo]]), [[zurückbleiben]], I) eig., [[zurückbleiben]] = [[säumen]], [[sich]] [[säumig]] [[zeigen]], länger [[dableiben]] od. gew. länger-, [[über]] die [[Zeit]] [[ausbleiben]], a) übh.: [[sed]] [[cur]] cessas? so geh [[doch]]! Ter.: [[haud]] [[quaquam]] [[etiam]] cessant, [[sie]] [[bleiben]] [[bis]] [[jetzt]] [[noch]] [[gar]] [[nicht]] aus, [[sie]] [[können]] [[bis]] [[jetzt]] [[noch]] [[gar]] [[nicht]] da [[sein]], Ter.: [[quodsi]] cessas [[aut]] [[strenuus]] anteis, [[nec]] tardum [[opperior]] [[nec]] praecedentibus [[insto]], Hor.: [[paulum]] si cessassem, [[domi]] [[non]] offendissem, Ter.: si tabellarii [[non]] cessarint, Cic.: Africanae (die [[Panther]]) cessant tempestate detentae (Ggstz. ad praefinitum diem occurrunt), Plin. ep.: rectene [[omnia]], [[quod]] [[iam]] [[pridem]] epistulae tuae cessant? Plin. ep. – cessans [[Nilus]], Plin. pan.: cessans [[morbus]], die säumige, langwierige, Hor. – b) insbes.: α) [[als]] gerichtl. t. t., [[säumig]] [[sein]], [[ausbleiben]], = [[nicht]] zu rechter [[Zeit]] [[vor]] [[Gericht]] [[erscheinen]] (Ggstz. [[adesse]]), Ulp. dig. 47, 10, 17. § 20. Callistr. dig. 49, 14, 2. § 4: culpāne [[quis]] an aliquā necessitate cessasset, Suet. Claud. 15, 2. – β) [[ausbleiben]], v. Einkünften = [[heuer]] [[nicht]] [[einkommen]], [[quod]] cessat ex reditu frugalitate suppletur, Plin. ep. 2, 4, 3. – γ) [[ausbleiben]], [[bis]] [[jetzt]] [[noch]] [[fehlen]], v. geistigen Anlagen, [[non]] [[enim]] deserendum id [[bonum]], si [[quod]] ingenitum est, [[existimo]], [[sed]] augendum addendumque [[quod]] cessat, Quint. 2, 8, 10.<br />'''II)''' übtr., [[von]] od. in [[einer]] [[Tätigkeit]] [[zurückbleiben]], 1) im Ggstz. zum raschen [[Handeln]] = [[säumen]], [[sich]] [[säumig]] [[zeigen]] od. sinden [[lassen]], es an [[sich]] [[kommen]] laffen, es an [[sich]] [[fehlen]] [[lassen]], a) übh.: et properare [[loco]] et cessare, Hor.: si possessores cessarent, Suet.: [[non]] timido, [[non]] [[ignavo]] cessare [[licuit]], Curt.: [[strenuus]] [[homo]] et [[numquam]] cessans, Curt.: u. in der [[Frage]], [[cur]] [[hic]] cessat [[cantharus]]? laßt [[uns]] zum B. [[greifen]]! Ter.: [[quid]] tua fulmina cessant? Ov.: cessat [[voluntas]]? säumt [[dein]] [[Wille]]? (= willst du [[nicht]] [[recht]]?) Hor.: [[quid]] cessarent, Liv., [[quid]] cessarent tergiversarenturque, Liv.: [[quid]] cunctaris? [[quid]] cessas? [[nisi]] occupas (diem), fugit, Sen. – m. Ang. [[bei]] wem? [[durch]] [[apud]] m. Akk., [[non]] c. [[apud]] rhetorem, beim Rh. [[nicht]] [[aussetzen]], Cic. ad Q. fr. 3, 1, 4. § 14. – m. Ang. [[wodurch]]? (aus [[welcher]] [[Ursache]]?) [[durch]] Abl., [[neque]] [[adhuc]] ignaviā quādam et insito torpore cessavimus, Plin. pan. – m. Ang. [[worin]]? [[durch]] in m. Abl., [[parate]] animos dextras, ne [[quis]] in eo, [[quod]] me viderit facientem, cesset. Qui [[cunctatus]] fuerit, sciat etc., Liv.: u. so [[numquam]] c. in [[suo]] studio [[atque]] opere, Cic.: c. in [[officio]] (Diensten), Liv.: [[quam]] ne [[nunc]] [[quidem]] [[aut]] in ducibus [[aut]] in militibus vestris cessat [[ira]] deae? bleibt aus, Liv. – m. Ang. [[woran]]? [[durch]] bl. Abl., c. muliebri audaciā, es an w. K. [[fehlen]] [[lassen]], Liv.: se [[nullo]] [[usquam]] cessaturum [[officio]], Liv. – m. Ang. [[wozu]]? [[durch]] in m. Akk., in vota precesque, Verg. Aen. 6, 51; od. gew. [[durch]] Infin., [[ego]] [[hinc]] migrare [[cesso]], Plaut.: cessas alloqui? so red ihn [[doch]] an, Ter.: [[quid]] cessas mori? so stirb [[doch]], Hor.: dona [[quid]] cessant [[mihi]] conferre? [[heran]] [[mit]] den G.! Ter.: [[nihil]] cessarunt [[ilico]] osculari, [[gleich]] ging's an [[ein]] [[Küssen]], Plaut.: [[quid]] cessatis [[regis]] inimicum occīdere, Curt. – im Pass. cessatur alqd, es wird etw. versäumt, hintangesetzt, vernachlässigt, v. dem [[selbst]], [[worin]] [[man]] [[säumig]] ist, [[quicquid]] (so [[viel]] [[Zeit]]) [[apud]] durae cessatum est [[moenia]] Troiae, [[solange]] [[auch]] der [[Kampf]] um die M. Tr. [[sich]] hinzog, Verg.: priorum [[nostrorum]] benefactorum [[cumulus]] [[hoc]], [[quod]] [[nunc]] cessatum in [[officio]] est, expleat, Liv.: neutra in parte cessato [[officio]], Val. Max.: moram cessataque [[tempora]] celeri cursu corrigere, Ov.: cessata [[arva]], Ov. – b) insbes. ([[nicht]] [[bei]] Cic.), es an [[sich]] in Erfüllung seiner [[Pflicht]] [[fehlen]] [[lassen]], [[zurückbleiben]], [[sic]] [[mihi]], [[qui]] [[multum]] cessat, fit [[Choerilus]] [[ille]], Hor.: [[orator]] [[perfectus]] [[ille]], ex nulla parte cessans, Quint. – 2) im Ggstz. zum unablässigen [[Handeln]] = [[aussetzen]], [[nachlassen]], [[rasten]], [[feiern]], [[auf]] [[einige]] [[Zeit]] [[ruhen]], a) übh.: [[intus]] cessas? Turpil. fr.: ne cessaret per hibernorum [[tempus]], Liv.: v. Lebl., cessantibus luminibus, unterblieben, Frontin.: et [[quia]] oculorum cessabat [[usus]], Curt. – m. Ang. [[wofür]]? [[durch]] Dat., [[non]] [[umquam]] c. amori, Prop. 1, 6, 21. – m. Ang. [[wodurch]]? [[durch]] Abl., [[quod]] earum (frumentationum publicarum) fiduciā [[cultura]] agrorum cessaret, Suet.: repentinā morte consulis cessans [[honor]], [[frei]] gewordene, Suet. – m. Ang. [[wovon]]? [[durch]] ab m. Abl., od. ([[selten]]) [[durch]] bl. Abl. Gerund., [[non]] [[nocte]], [[non]] die [[umquam]] cessaverunt ab opere, Liv.: [[ibi]] [[aliquamdiu]] [[nec]] cessatum ab armis est [[neque]] [[naviter]] pugnatum, Liv.: [[non]] cessari a sacrilegiis, Liv.: si a privilegiis parentum cessaretur, Tac.: cessare loquendo, [[aufhören]] zu [[reden]], Itala Iudith 5, 26. – u. v. der [[Zeit]], nullum [[tempus]], [[nullus]] [[dies]] cessat ab alqa re, kein [[Augenblick]], kein [[Tag]] ist [[ganz]] [[frei]] [[von]] usw., vergeht [[ohne]] usw., Liv. u. Suet. – [[non]] cessare m. folg. Infin., [[nicht]] [[rasten]], [[nicht]] [[ruhen]] zu usw., [[ille]] in [[Achaia]] [[non]] cessat de [[nobis]] detrahere, Cic.: [[non]] cessavit criminari, Suet. – u. [[non]] cessare m. folg. [[quoad]], [[nicht]] [[ruhen]], [[bis]] usw., [[nec]] cessasse, [[quoad]] omnem regiae [[stirpis]] subolem deleret, Iustin. 16, 1, 15: u. so [[non]] cessatum m. folg. [[quin]] u. Konj., Iustin. 3, 7, 12. – b) prägn., [[feiern]] = Feierabend [[halten]], [[sich]] dem [[Müßiggang]] [[oder]] Nichtstun [[ergeben]], [[nichts]] [[tun]],[[cur]] [[tam]] multos deos [[nihil]] agere et cessare patitur? Cic.: at [[ipsi]] [[tamen]] pueri, [[etiam]] cum cessant, exercitatione aliquā ludicrā delectantur, Cic.: cessabimus unā, [[wir]] [[wollen]] [[zusammen]] [[feiern]] ([[uns]] dem süßen Nichtstun [[hingeben]]), Prop. – v. Lebl., α) übh., cessatum ducere curam, zur [[Ruhe]] einwiegen, Hor. ep. 1, 2, 31. – β) insbes., v. Ggstdn., die [[nicht]] [[gebraucht]], betrieben [[werden]], [[feiern]], [[ruhen]], [[quid]] [[ita]] cessarunt [[pedes]]? Phaedr.: grave suspenso vomere cesset [[opus]], Tibull.: cessasse Latoidos aras, Ov.: at [[nunc]] desertis cessant [[sacraria]] lucis, Prop. – v. [[Acker]] = [[unbebaut]]-, [[brach]] [[liegen]], [[hic]] [[ager]] [[sive]] exercetur [[seu]] cessat, Col.: [[alternis]] cessare novales, Verg.: c. in annum [[tertium]], Plin.: c. [[anno]], ICt. – v. Mündelgeldern = [[unbenutzt]] [[liegen]], [[Gaius]] dig. 26, 7, 13. § 1. – v. Verhältnissen u. Zuständen = [[auf]] [[sich]] [[beruhen]], wegfallen, [[nicht]] [[stattfinden]] od. -[[haben]], keine Anwendung [[leiden]], cessat [[ergo]] sacrorum [[haec]] [[ratio]] ([[Grund]]), Arnob. 7, 3: [[bes]]. [[als]] jurist. t. t., cessat [[actio]], [[cautio]], [[poena]] edicti, ICt.: cessat [[legatum]], ICt.: Partiz. subst., cessantium partes, die Vermächtnisanteile wegfallender Legatare, Paul. dig. 35, 3, 7. | |||
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Revision as of 09:06, 15 August 2017
Latin > English (Lewis & Short)
cesso: āvi, ātum, 1,
I v. freq. n. and a. [1. cedo; lit., to stand back very much; hence, to be remiss in any thing, to delay, loiter, or, in gen., to cease from, stop, give over (indicating a blamable remissness; while desinere, intermittere, requiescere do not include that idea: cessat desidiosus, requiescit fessus, Don. ad Ter. Eun. 3, 1, 15. Diff. from cunctari in this, that the latter designates inaction arising from want of resolution, but cessare that which is the result of slothfulness; cf. Doed. Syn. 3, p. 300 sq.; class. in prose and poetry): paulum si cessassem, Ter. Eun. 4, 4, 5; 4, 6, 16; id. Ad. 4, 2, 49: si tabellarii non cessarint, Cic. Prov. Cons. 7, 15: in suo studio atque opere, id. Sen. 5, 13: ne quis in eo, quod me viderit facientem, cesset, Liv. 35, 35, 16; cf. id. 35, 18, 8: ab apparatu operum ac munitionum nihil cessatum, id. 21, 8, 1; 34, 16, 3; 31, 12, 2; Tac. A. 3, 28: quidquid apud durae cessatum est moenia Trojae, whatever delay there was, Verg. A. 11, 288: audaciā, to be deficient in spirit, Liv. 1, 46, 6; cf.: nullo umquam officio, id. 42, 6, 8: ad arma cessantes Concitet, Hor. C. 1, 35, 15 et saep.—So in admonitions: quid cessas? Ter. And. 5, 6, 15; Tib. 2, 2, 10: quid cessatis? Curt. 4, 16, 5: quor cessas? Ter. Ad. 4, 5, 69; cf.: cessas in vota precesque (poet. for cessas facere vota), Tros, ait, Aenea? cessas? Verg. A. 6, 51 sq.; Tib. 3, 6, 57.— With dat. incommodi: it dies; ego mihi cesso, i. e. to my own injury, Plaut. Ps. 1, 3, 12 Lorenz ad loc.; id. Ep. 3, 2, 8: sed ego nunc mihi cesso, qui non umerum hunc onero pallio, Ter. Phorm. 5, 6, 4.—
b With inf.: ego hinc migrare cesso, Plaut. Ep. 3, 2, 6 sq.: numquid principio cessavit verbum docte dicere? id. Pers. 4, 4, 3; so, alloqui, Ter. And. 2, 2, 6; 5, 2, 4: adoriri, id. Heaut. 4, 5, 9: pultare ostium, id. ib. 3, 1, 1; id. Phorm. 2, 3, 30: introrumpere, id. Eun. 5, 5, 26: detrahere de nobis, Cic. Att. 11, 11, 2: mori, Hor. C. 3, 27, 58 et saep.—
II In gen.
A To be inactive, idle, at leisure, to do nothing: cur tam multos deos nihil agere et cessare patitur? cur non rebus humanis aliquos otiosos deos praeficit? Cic. N. D. 3, 39, 93; cf. id. ib. 1, 9, 22; id. Off. 3, 1, 1: nisi forte ego vobis cessare nunc videor; cum bella non gero, id. de Sen. 6, 18: et si quid cessare potes, requiesce sub umbrā, Verg. E. 7, 10: cessabimus una, Prop. 3 (4), 23, 15; Ov. M. 4, 37: cur alter fratrum cessare et ludere et ungi praeferat, etc., Hor. Ep. 2, 2, 183 (cessare otiari et jucunde vivere, Schol. Crucq.); so id. ib. 1, 7, 57: per hibernorum tempus, Liv. 36, 5, 1: cessatum usque adhuc est: nunc porro expergiscere, Ter. Ad. 4, 4, 23: cessatum ducere curam, put to rest, Hor. Ep. 1, 2, 31: non timido, non ignavo cessare tum licuit, Curt. 3, 11, 5.—
b Of things, to be at rest, to rest, be still, inactive, unemployed, or unused, etc.: si cessare putas rerum primordia posse, Cessandoque novos rerum progignere motus, Lucr. 2, 80 sq.: quid ita cessarunt pedes? Phaedr. 1, 9, 5: et grave suspenso vomere cesset opus, Tib. 2, 1, 6; Ov. F. 6, 348: Achilles cessare in Teucros pertulit arma sua, Prop. 2, 8, 30: cur Berecyntiae Cessant flamina tibiae, Hor. C. 3, 19, 19: cessat voluntas? id. ib. 1, 27, 13: cessat ira deae, Liv. 29, 18, 10: solas sine ture relictas Praeteritae cessasse ferunt Letoïdos aras, i. e. remained unsought, unapproached, Ov. M. 8, 278; cf.: at nunc desertis cessant sacraria lucis, Prop. 3 (4), 13, 47; and: cessaturae casae, Ov. F. 4, 804: cessans honor, a vacant office, Suet. Caes. 76.—
(b) Of land, to lie uncultivated, fallow (cf. cessatio): alternis idem tonsas cessare novales, Verg. G. 1, 71; Plin. 18, 23, 52, § 191; cf. Suet. Aug. 42.—Pass.: cessata arva, Ov. F. 4, 617.—Trop., of a barren woman, Paul. Nol. Carm. 6, 48.—
c Sometimes cessare alicui rei, like vacare alicui rei, to have leisure for something, i.e. to attend to, apply one's self to: amori, Prop. 1, 6, 21.—
B Rarely (prob. not ante-Aug.), not to be at hand or present, to be wanting: cessat voluntas? non aliā bibam Mercede, Hor. C. 1, 27, 13: augendum addendumque quod cessat, Quint. 2, 8, 10.—Hence,
2 Judic. t. t.
a Of persons, not to appear before a tribunal, to make default: culpāne quis an aliquā necessitate cessasset, Suet. Claud. 15 (where, just before, absentibus; cf. absum, 8.): quoties delator adesse jussus cessat, Dig. 49, 14, 2, § 4; so ib. 47, 10, 17, § 20.—
b Of things (a process, verdict), to be invalid, null, void: cessat injuriarum actio, Dig. 47, 10, 17, § 1: revocatio, ib. 42, 8, 10, § 1: edictum, ib. 39, 1, 1: senatus consultum, ib. 14, 6, 12 et saep.—
C Also rare, in a moral view, to depart from a right way, i.e. to mistake, err: ut scriptor si peccat... Sic qui multum cessat, Hor. A. P. 357: oratoris perfecti illius, ex nullā parte cessantis, Quint. 1, 10, 4.
Latin > French (Gaffiot 2016)
cessō,⁸ āvī, ātum, āre (fréquent. de cedo), intr.,
1 tarder, se montrer lent, lambiner, ne pas avancer, ne pas agir : quid cessas ? Pl. Epid. 684, que tardes-tu ? si tabellarii non cessarint Cic. Prov. 15, si les courriers ne traînent pas en route (s’ils font diligence) ; quod si cessas aut strenuus anteis, nec tardum opperior nec præcedentibus insto Hor. Ep. 1, 2, 70, que tu tardes ou au contraire que tu partes alerte de l’avant, je n’attends pas plus le lambin que je ne cours aux trousses de ceux qui me précèdent || [avec inf.] tarder à faire qqch. : cesso huc intro rumpere ? Ter. Eun. 996, je tarde à entrer ? = il est temps que j’entre ( Pl. Epid. 342, etc. ) : quid mori cessas ? Hor. O. 3, 27, 58, que tardes-tu à mourir ? || [droit] ne pas comparaître au jour dit en justice, faire défaut : nullo delectu culpane quis an aliqua necessitate cessasset Suet. Claud. 15, sans distinguer si la personne avait fait défaut par sa faute ou par nécessité, cf. Ulp. Dig. 47, 10, 17, 20 || [fig.] tarder à venir, ne pas être présent : non deterendum id bonum, si quod ingenitum est, existimo, sed augendum addendumque quod cessat Quint. 2, 8, 10, s’il ne faut pas détruire, à mon avis, les bonnes qualités naturelles du futur orateur, par contre, il faut développer et stimuler celles qui sont lentes à venir || ne pas arriver, manquer : quod cessat ex reditu, frugalitate suppletur Plin. Min. Ep. 2, 4, 3, ce qui manque à mes revenus, ma frugalité le supplée
2 suspendre son activité, s’interrompre, se reposer : et properare loco et cessare Hor. Ep. 1, 7, 57, travailler activement et se reposer à propos ; strenuum hominem et numquam cessantem ! Curt. 7, 2, 26, quel homme actif et jamais au repos ! cur in lustris tam eximia virtus tam diu cessavit ? Cic. Sen. 13, pourquoi ce mérite si éclatant s’est-il reposé si longtemps dans les bouges ? epistulæ tuæ cessant Plin. Min. Ep. 3, 17, 1, ta correspondance se ralentit || [avec in abl.] : neque umquam in suo studio atque opere cessavit Cic. CM 13, jamais il ne s’interrompit dans ses études et son travail ; in officio cessare Liv. 45, 23, 10, se relâcher dans l’accomplissement de ses devoirs ; in quo quisque cessasset, prodi ab se salutem omnium rebatur Liv. 30, 9, 9, chacun croyait que se ralentir dans sa tâche (s’attarder, perdre son temps), c’était trahir la cause commune || [avec abl.] : muliebri audacia cessare Liv. 1, 46, 6, ne pas avoir en soi l’audace ordinaire aux femmes ; se nullo usquam cessaturum officio Liv. 42, 6, 8, il ne se déroberait en aucune circonstance devant un service à rendre ; prima dies cessavit Marte cruento Luc. 4, 24, le premier jour se passa sans l’ensanglantement du combat || [avec ab ] s’arrêter de : ab apparatu operum nihil cessatum Liv. 21, 8, 1, on ne discontinua en rien les travaux (4, 27, 5 ; 10, 39, 6 ; 21, 11, 5, etc. ) ; nec ullum erat tempus, quod a novæ semper cladis alicujus spectaculo cessaret Liv. 5, 42, 6, il n’y avait pas un instant qui cessât d’offrir le spectacle de quelque désastre toujours nouveau || [avec in acc.] : cessas in vota precesque ? Virg. En. 6, 51, tu tardes à offrir tes vœux et tes prières ? || [avec inf.] : Cyrum urgere non cesso Cic. Q. 2, 2, 1, je ne cesse pas de presser Cyrus (Att. 11, 11, 2 ; Pis. 59 ; Q. 3, 5, 1 ) || [fig.] se relâcher, se négliger : qui multum cessat Hor. P. 357, l’écrivain qui a beaucoup de négligences ; (imago oratoris perfecti) et nulla parte cessantis Quint. 1, 10, 4 (l’image de l’orateur parfait) et qui ne bronche sur aucun point
3 être oisif, ne rien faire : nisi forte cessare nunc videor, cum bella non gero Cic. CM 18, à moins que je ne paraisse être oisif maintenant que je ne fais pas la guerre ; pueri, etiam cum cessant, exercitatione aliqua ludicra delectantur Cic. Nat. 1, 102, les enfants, même dans l’oisiveté, s’exercent (s’occupent) volontiers à quelque jeu ; in militibus vestris non cessat ira deæ Liv. 29, 18, 10, sur vos soldats la colère de la déesse n’est pas inactive (elle se manifeste) || [poét.] consacrer ses loisirs à qqch., s’adonner à, cessare alicui rei = vacare alicui rei : Prop. 1, 6, 21 || être au repos : cur hic cessat cantharus ? Pl. St. 705, pourquoi cette coupe est-elle au repos ? cur Berecynthiæ cessant flamina tibiæ ? Hor. O. 3, 19, 19, pourquoi cesser de souffler dans la flûte Phrygienne ? cessat terra Ov. Tr. 3, 10, 70, la terre est au repos, reste en jachère ( Virg. G. 1, 71 ; Plin. 18, 191 ; Col. Rust. 2, 2, 7 )
4 [poét., emploi trans. au passif] : cessatis in arvis Ov. F. 4, 617, dans les champs laissés au repos (M. 10, 669 ; Val. Max. 5, 10, 3 ).
Latin > German (Georges)
cesso, āvī, ātum, āre (Frequ. v. cedo), zurückbleiben, I) eig., zurückbleiben = säumen, sich säumig zeigen, länger dableiben od. gew. länger-, über die Zeit ausbleiben, a) übh.: sed cur cessas? so geh doch! Ter.: haud quaquam etiam cessant, sie bleiben bis jetzt noch gar nicht aus, sie können bis jetzt noch gar nicht da sein, Ter.: quodsi cessas aut strenuus anteis, nec tardum opperior nec praecedentibus insto, Hor.: paulum si cessassem, domi non offendissem, Ter.: si tabellarii non cessarint, Cic.: Africanae (die Panther) cessant tempestate detentae (Ggstz. ad praefinitum diem occurrunt), Plin. ep.: rectene omnia, quod iam pridem epistulae tuae cessant? Plin. ep. – cessans Nilus, Plin. pan.: cessans morbus, die säumige, langwierige, Hor. – b) insbes.: α) als gerichtl. t. t., säumig sein, ausbleiben, = nicht zu rechter Zeit vor Gericht erscheinen (Ggstz. adesse), Ulp. dig. 47, 10, 17. § 20. Callistr. dig. 49, 14, 2. § 4: culpāne quis an aliquā necessitate cessasset, Suet. Claud. 15, 2. – β) ausbleiben, v. Einkünften = heuer nicht einkommen, quod cessat ex reditu frugalitate suppletur, Plin. ep. 2, 4, 3. – γ) ausbleiben, bis jetzt noch fehlen, v. geistigen Anlagen, non enim deserendum id bonum, si quod ingenitum est, existimo, sed augendum addendumque quod cessat, Quint. 2, 8, 10.
II) übtr., von od. in einer Tätigkeit zurückbleiben, 1) im Ggstz. zum raschen Handeln = säumen, sich säumig zeigen od. sinden lassen, es an sich kommen laffen, es an sich fehlen lassen, a) übh.: et properare loco et cessare, Hor.: si possessores cessarent, Suet.: non timido, non ignavo cessare licuit, Curt.: strenuus homo et numquam cessans, Curt.: u. in der Frage, cur hic cessat cantharus? laßt uns zum B. greifen! Ter.: quid tua fulmina cessant? Ov.: cessat voluntas? säumt dein Wille? (= willst du nicht recht?) Hor.: quid cessarent, Liv., quid cessarent tergiversarenturque, Liv.: quid cunctaris? quid cessas? nisi occupas (diem), fugit, Sen. – m. Ang. bei wem? durch apud m. Akk., non c. apud rhetorem, beim Rh. nicht aussetzen, Cic. ad Q. fr. 3, 1, 4. § 14. – m. Ang. wodurch? (aus welcher Ursache?) durch Abl., neque adhuc ignaviā quādam et insito torpore cessavimus, Plin. pan. – m. Ang. worin? durch in m. Abl., parate animos dextras, ne quis in eo, quod me viderit facientem, cesset. Qui cunctatus fuerit, sciat etc., Liv.: u. so numquam c. in suo studio atque opere, Cic.: c. in officio (Diensten), Liv.: quam ne nunc quidem aut in ducibus aut in militibus vestris cessat ira deae? bleibt aus, Liv. – m. Ang. woran? durch bl. Abl., c. muliebri audaciā, es an w. K. fehlen lassen, Liv.: se nullo usquam cessaturum officio, Liv. – m. Ang. wozu? durch in m. Akk., in vota precesque, Verg. Aen. 6, 51; od. gew. durch Infin., ego hinc migrare cesso, Plaut.: cessas alloqui? so red ihn doch an, Ter.: quid cessas mori? so stirb doch, Hor.: dona quid cessant mihi conferre? heran mit den G.! Ter.: nihil cessarunt ilico osculari, gleich ging's an ein Küssen, Plaut.: quid cessatis regis inimicum occīdere, Curt. – im Pass. cessatur alqd, es wird etw. versäumt, hintangesetzt, vernachlässigt, v. dem selbst, worin man säumig ist, quicquid (so viel Zeit) apud durae cessatum est moenia Troiae, solange auch der Kampf um die M. Tr. sich hinzog, Verg.: priorum nostrorum benefactorum cumulus hoc, quod nunc cessatum in officio est, expleat, Liv.: neutra in parte cessato officio, Val. Max.: moram cessataque tempora celeri cursu corrigere, Ov.: cessata arva, Ov. – b) insbes. (nicht bei Cic.), es an sich in Erfüllung seiner Pflicht fehlen lassen, zurückbleiben, sic mihi, qui multum cessat, fit Choerilus ille, Hor.: orator perfectus ille, ex nulla parte cessans, Quint. – 2) im Ggstz. zum unablässigen Handeln = aussetzen, nachlassen, rasten, feiern, auf einige Zeit ruhen, a) übh.: intus cessas? Turpil. fr.: ne cessaret per hibernorum tempus, Liv.: v. Lebl., cessantibus luminibus, unterblieben, Frontin.: et quia oculorum cessabat usus, Curt. – m. Ang. wofür? durch Dat., non umquam c. amori, Prop. 1, 6, 21. – m. Ang. wodurch? durch Abl., quod earum (frumentationum publicarum) fiduciā cultura agrorum cessaret, Suet.: repentinā morte consulis cessans honor, frei gewordene, Suet. – m. Ang. wovon? durch ab m. Abl., od. (selten) durch bl. Abl. Gerund., non nocte, non die umquam cessaverunt ab opere, Liv.: ibi aliquamdiu nec cessatum ab armis est neque naviter pugnatum, Liv.: non cessari a sacrilegiis, Liv.: si a privilegiis parentum cessaretur, Tac.: cessare loquendo, aufhören zu reden, Itala Iudith 5, 26. – u. v. der Zeit, nullum tempus, nullus dies cessat ab alqa re, kein Augenblick, kein Tag ist ganz frei von usw., vergeht ohne usw., Liv. u. Suet. – non cessare m. folg. Infin., nicht rasten, nicht ruhen zu usw., ille in Achaia non cessat de nobis detrahere, Cic.: non cessavit criminari, Suet. – u. non cessare m. folg. quoad, nicht ruhen, bis usw., nec cessasse, quoad omnem regiae stirpis subolem deleret, Iustin. 16, 1, 15: u. so non cessatum m. folg. quin u. Konj., Iustin. 3, 7, 12. – b) prägn., feiern = Feierabend halten, sich dem Müßiggang oder Nichtstun ergeben, nichts tun,cur tam multos deos nihil agere et cessare patitur? Cic.: at ipsi tamen pueri, etiam cum cessant, exercitatione aliquā ludicrā delectantur, Cic.: cessabimus unā, wir wollen zusammen feiern (uns dem süßen Nichtstun hingeben), Prop. – v. Lebl., α) übh., cessatum ducere curam, zur Ruhe einwiegen, Hor. ep. 1, 2, 31. – β) insbes., v. Ggstdn., die nicht gebraucht, betrieben werden, feiern, ruhen, quid ita cessarunt pedes? Phaedr.: grave suspenso vomere cesset opus, Tibull.: cessasse Latoidos aras, Ov.: at nunc desertis cessant sacraria lucis, Prop. – v. Acker = unbebaut-, brach liegen, hic ager sive exercetur seu cessat, Col.: alternis cessare novales, Verg.: c. in annum tertium, Plin.: c. anno, ICt. – v. Mündelgeldern = unbenutzt liegen, Gaius dig. 26, 7, 13. § 1. – v. Verhältnissen u. Zuständen = auf sich beruhen, wegfallen, nicht stattfinden od. -haben, keine Anwendung leiden, cessat ergo sacrorum haec ratio (Grund), Arnob. 7, 3: bes. als jurist. t. t., cessat actio, cautio, poena edicti, ICt.: cessat legatum, ICt.: Partiz. subst., cessantium partes, die Vermächtnisanteile wegfallender Legatare, Paul. dig. 35, 3, 7.